dimanche 19 janvier 2014

une bonne année de lectures

je vous souhaite une bonne année un peu en retard mais on est toujours en janvier le premier mois ou on a envie de tout recommencer a zéro , et parfois on oublie le principal , c'est a dire sois même , et c'est en lisant que je me retrouve car je m’évade , je voyages et je me  dédouble pour vivre a chaque fois une aventure nouvelle   , je vais essayer durant toute l'année de poursuivre mon rêve qui est de vivre mes lectures a travers ce blog ! Violettine

jeudi 2 janvier 2014

le courage

« Bon courage ! C'est l'expression de soutient que l'on reçoit avant une décision importante à prendre, un travail difficile à entreprendre, un obstacle ou une période difficile à passée .... Le courage est une force, qui s'acquiert certainement lorsqu'on affronte des choses qui nous heurtent et que nous cherchons à dépasser; lors de combats, qu'ils soient pour une cause politique, humaine, personnelle. Etre une personne courageuse, c'est peut-être d'oser renoncer à la facilité, d'oser prendre position, prendre des risques pour soi-même, se battre pour faire respecter sa vie et celle des autres humains.
Faire preuve de courage dans la société d'hier et d'aujourd'hui, c'est sans doute prendre la défense de ceux qui n'en ont pas les moyens eux-mêmes ou qui en sont empêchés par manque de liberté; qui sont victimes de pauvretés multiples ou oppressés par le poids d'injustices politiques ou sociales. C'est aussi pour certains de reconnaître que les choses ne sont pas toujours justes et faciles mais qu'en se mobilisant avec d'autres et en acceptant de "prendre son courage à deux mains", on se sent moins vulnérables.
Quand je cherche quelles sont les personnes qui incarnent le courage, je pense à celles, qui, dans l'horreur de certaines guerres, trouvent la force, les ressources presque viscérales de garder une certaine confiance ou au moins, de ne pas glisser vers la haine ou l'indifférence des autres (que ce soit pendant l'occupation nazie ou bien les guerres ethniques en Afrique, ou religieuses en Asie ...) il y a toujours le témoignage de ces personnes inconnues qui ont fait preuve de courage ou bien qui ont été accompagnées par la grâce, ou peut-être les deux... » Claire.

« Dans le langage courant on entend souvent : « je n’ai pas le courage » , « je suis découragée ». Aujourd’hui même chez une de mes patientes : « il faut que je prenne mon courage à deux mains ». Encourager c’est stimuler l’envie de vivre, de faire, d’aller de l’avant, d’assumer ses responsabilités, d’oser……. Encourager, c’est redonner le goût de vivre. Se décourager c’est perdre l’espoir d’un mieux, du meilleur. Dans le dictionnaire, l’étymologie du mot Courage vient de cœur : avoir du cœur à l’ouvrage. Le courage n’est pas inné, mais le sujet se forme et se transforme grâce à l’éducation qui apprend le sens de l’effort. Le courage est un trait de caractère : on ne devient pas courageux du jour au lendemain.
C’est un apprentissage qui combine l’exemple donné par les adultes pour l’enfant et les exigences que l’on manifeste vis-à-vis de lui, associés à son libre arbitre. Le courage est la qualité de la personne que l’entourage considère comme « forte ». Edith, psychanalyste.

« Etre courageux s'est se fixer un but et y travailler sans relâche. Le courage fait alliance avec une énergie ancestrale qui sublime la personne qui la transcende, bien au-delà du danger. Une personne courageuse est donc celle qui vit son idéal et le défend. Une personne courageuse est également une personne qui ne sombre pas dans le désespoir. » Marie-Hélène.

« Le courage est d'abord une haute vertu. Elle s'oppose évidemment à la lâcheté et son corollaire, pusillanimité, faiblesse de caractère et ses variantes, pleutrerie... S'apprend-il ? Sans doute. En sachant démasquer la lâcheté en soi et chez les autres. Excellent exercice qui renvoie à soi-même. Pour parler de façon plus personnelle, en affrontant les difficultés qui nous touchent de près quotidiennement, avec sa femme, ses enfants, son milieu de travail. Je veux dire savoir regarder le vérité en face, en accepter le lien avec nous. Accepter de se sentir responsable et par conséquent agir pour modifier le cours des événements. » Pierre, enseignant.