tag:blogger.com,1999:blog-77809916097563513102024-03-05T23:42:03.158-08:00les lectures de MartineAnonymoushttp://www.blogger.com/profile/14724381208833766050noreply@blogger.comBlogger29125tag:blogger.com,1999:blog-7780991609756351310.post-51058303405951190942014-10-16T13:02:00.002-07:002014-10-16T13:02:23.441-07:00Dernière tome de la trilogie de Ken Follett<div class="copy-paste-block">
<header class="article_header"><h1 itemprop="Headline">
Le 3e tome des Piliers de la terre: Ken Follett aux portes de l'éternité</h1>
<div class="authors">
Par <span itemprop="author" rel="author">Julien Bisson</span>, publié le <time datetime="2014-10-16 17:20:03" itemprop="datePublished" pubdate="">16/10/2014 à 17:20</time><time datetime="" itemprop="dateModified"></time></div>
<h2 class="chapo">
Dernière tome de la trilogie de Ken Follett, <em>Aux Portes de l'éternité</em>
commence au début des années 60, à l'heure des Kennedy, de la
révolution sexuelle et des luttes pour les droits civiques. Epique
époque...
</h2>
<aside class="toolbar"><br /><a class="pw-button pw-button-email button-type-square pw-size-small" href="https://www.blogger.com/null"><span class="pw-icon ra1-pw-icon ra1-pw-icon-email"></span></a>
</aside>
<figure class="ouverture">
<img alt="Le 3e tome des Piliers de la terre: Ken Follett aux portes de l'éternité" border="0" class="" height="270" src="http://static.lexpress.fr/medias_10021/w_605,h_270,c_fill,g_north/ken-follett-2_5131238.jpeg" width="605" />
<figcaption>
<div class="legende">
</div>
<div class="legende">
Ken Follett écrit des livres, mais pas seulement: il joue aussi de la guitare.</div>
<div class="credits">
</div>
<div class="credits">
Ken Follett</div>
</figcaption>
</figure>
</header>
<div class="article_content">
<div class="article_container" itemprop="articleBody">
Il fallait un sacré talent, un zeste de folie et une solide équipe derrière soi pour mener à bien un tel projet. Imaginez: <a href="http://blogs.lexpress.fr/les-8-plumes/2012/02/13/la-chute-des-geants-de-ken-follett-1000-pages-ne-doivent-pas-effrayer-le-lecteur-au-contraire/" target="_self">une trilogie de plus de trois mille pages</a>
qui s'emploie à revisiter les grandes secousses du siècle dernier, à
travers le destin de cinq familles et autant de nationalités! Le genre
de défi littéraire qui n'effraie guère <a href="http://www.lexpress.fr/culture/livre/sur-une-ile-deserte-ken-follett-emporterait_948847.html" target="_self"><strong>Ken Follett</strong></a>, grand maître du thriller historique depuis le succès des <em>Piliers de la terre</em>. Et qui a d'ores et déjà trouvé son public en France, au vu des 700 000 exemplaires écoulés des deux premiers volets...<br />
<strong><a href="http://www.lexpress.fr/actualite/premieres-pages-aux-portes-de-l-eternite_1612252.html" target="_self">>>> Lire les premières pages de <em>Aux Portes de l'éternité</em></a></strong><br />
Après <em>La Chute des géants</em> (qui couvrait la Grande Guerre et les Années folles), puis <em>L'Hiver du monde</em> (qui suivait les années 1930 et la Seconde Guerre mondiale), <em>Aux portes de l'éternité</em>
débute à l'orée des sixties, à l'heure de tous les bouleversements:
lutte pour les droits civiques, révolution sexuelle, escalade nucléaire,
assassinat des frères Kennedy... Autant d'événements cruciaux auxquels
Rebecca, Dimka, Cameron, Dave ou Tania assisteront aux premières loges,
minuscules acteurs d'une grande Histoire prête à les engloutir...<br />
Avec un sens impeccable du rythme et du suspense, Ken Follett orchestre les passions de l'époque sans jamais perdre souffle.<br />
Surtout,
le romancier britannique offre un portrait complexe, nuancé, des deux
camps de la guerre froide et de leurs peuples, séparés par le rideau de
fer, mais unis par une même obsession: la quête assoiffée de liberté,
dans un monde en pleine ébullition. Une conclusion épique pour cette
vaste fresque des Temps modernes. </div>
</div>
<span><br />En savoir
plus sur
http://www.lexpress.fr/culture/livre/le-3e-tome-des-piliers-de-la-terre-ken-follett-aux-portes-de-l-eternite_1612423.html#6GEwPiie4TUQSGuI.99</span></div>
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/14724381208833766050noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7780991609756351310.post-87567818370343762722014-08-24T02:53:00.002-07:002014-08-24T02:53:49.537-07:00Lavoir(s) de Wangen <div align="center">
<span style="font-size: 18px; line-height: normal;"><b>Lavoir(s) de Wangen</b></span><br />
<br />
<br />
<a class="postlink" href="http://www.servimg.com/image_preview.php?i=116&u=13452367" rel="nofollow" target="_blank"><img alt="" border="0" src="http://i85.servimg.com/u/f85/13/45/23/67/lavoir10.jpg" /></a></div>
<br />
<br />
<br />
<br />
Notre village possédait encore il y a quelques décennies un lavoir.<br />
Cet ancien lavoir a dû malheureusement céder sa place à l'élargissement de la rue.<br />
<br />
Le lavoir n'était pas couvert et se trouvait près de la place de l'église.<br />
Il était divisé en deux parties,une petite et une plus grande.<br />
L'eau qui alimentait le lavoir venait d'une source.<br />
Le petit lavoir était entouré d'un mur d'environ 80-100 cm de hauteur et 50-60 cm de large.<br />
Le dessus était recouvert de grandes dalles en grès sur lesquelles les femmes savonnaient et brossaient le linge.<br />
L'eau du petit lavoir s'écoulait dans le plus grand qui était entouré d'un mur beaucoup plus bas et qui d'un côté était ouvert.<br />
On pouvait entrer dans l'eau par une pente douce.<br />
L'eau
qui coulait du petit dans le grand lavoir n'était plus très propre à la
longue, et servait à nettoyer les vêtements de travail ou à laver les
sacs en toile de jute qui avaient servi au transport après la récolte
des pommes de terre.<br />
<br />
Au printemps,les vignerons y trempaient
leurs paquets de tiges de saule(les bahn) qui servaient à courber et à
attacher les sarments de vignes,puis en été au moment de lier (Hefte)
les vignes,on y mouillait des petites bottes de paille de seigle
(schreedle) pour qu'elles soient tendres et faciles à manier.<br />
Certains
paysans qui avaient des chevaux crottés par la boue à force de labourer
et travailler dans la forêt,faisaient entrer leurs bêtes dans l'eau et
leur lavaient les sabots.<br />
<br />
Très souvent l'appariteur du village
vidait les lavoirs en soulevant une trappe,une fois l'eau évacuée,il
brossait les parois où la saleté s'était déposée.<br />
Ensuite il faisait à nouveau couler de l'eau fraîche et propre.<br />
<br />
A
part ces deux lavoirs,il en existait encore un dans le bas du village
(au Froescheloch) près de la chapelle,lui aussi à bien entendu disparu.<br />
<br />
<i>Merci au Cercle d'histoire de Wangen pour la mise à disposition des documents nécessaires à l'édition de cet article.<br />Merci
à Charles Geiss pour le partage de la photo du lavoir et de ses
lavandières (dont je ne me lasse pas et que j'ai envie de poster
partout!).</i><br />
<br />
Un site sympa sur les lavoirs de France mais avec juste trois lavoirs répertoriés<br />
dans le Bas-Rhin...(aidons-les!)<br />
<br />
<a href="http://france.lavoirs.free.fr/region/Bas-Rhin/Bas-Rhin.html" rel="nofollow" target="_blank">http://france.lavoirs.free.fr/region/Bas-Rhin/Bas-Rhin.html</a><br />
<br />
Un livre très intéressant avec de magnifiques photos sur les lavoirs en France:<br />
<br />
"La France des lavoirs" de Christophe Lefébure<br />
<br />
Présentation de l'éditeur<br />
Précédé
d’un texte de Marie Rouanet - Eteignez un haut fourneau, il ne tarde
pas à rouiller. Dans le plus modeste lavoir de village laissé à
l’abandon depuis un quart de siècle, l’eau continue de couler…L’eau,
c’est l’âme et le génie du lieu. Construit le plus souvent avec de
modestes moyens, dans la ferveur républicaine d’un XIXè siècle préoccupé
d’hygiène et de salubrité publiques, le lavoir a pris en de nombreux
endroits des allures de petit temple rustique. Les femmes l’ont investi.
Elles ont, pendant plusieurs générations, surfilé les rituels de la
lessive des confidences domestiques et des secrets d’état qu’elles
n’échangeaient plus, désormais, que dans la pénombre humide du lavoir.
Ecoutez bien : dans la sereine désuétude de ce patrimoine rural et
urbain qui reste à découvrir et à sauvegarder, l’eau chuchote, l’eau
persifle toujoursAnonymoushttp://www.blogger.com/profile/14724381208833766050noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7780991609756351310.post-2652204121960607642014-07-25T01:22:00.002-07:002014-07-25T01:22:47.482-07:00Que vont lire vos enfants pendant les vacances ?<div id="ctl00_ctl00_ctl00_PlaceHolderMainBase_PlaceHolderMainCommon_PlaceHolderMain_ctl00__ControlWrapper_RichHtmlField" style="display: inline;">
<span class="itFejStylesCustom-firstLetter">C</span>’est les vacances ! Une parenthèse enchantée dans la vie bousculée de nos enfants, un moment propice à la <strong>lecture</strong>,
qu’on soit à la plage, au bord de la mer ou à la montagne. Des vacances
pour prendre le temps de lire, autrement et autre chose… <br />
Parents Grainedecurieux.fr, <strong>quels livres allez-vous glisser dans les bagages de vos enfants </strong>?</div>
<br class="clear" />
<div class="fej_dossierPart">
<div id="ctl00_ctl00_ctl00_PlaceHolderMainBase_PlaceHolderMainCommon_PlaceHolderMain_ctl01__ControlWrapper_RichHtmlField" style="display: inline;">
<strong><em>Enfant de la jungle</em> de Michael Morpurgo</strong><br />
« Ma fille n’étant pas une grande lectrice, j’essaye de choisir des
livres simples à lire et des sujets susceptibles de l’intéresser. En
l’occurrence, j’ai choisi cette année <i>Enfant de la jungle</i> de
Michael Morpurgo. Ce livre parle des animaux, ma fille adore. Le héros
du livre est un jeune garçon (une dizaine d’année) donc elle peut
s’identifier à lui. Ce livre parle également des problèmes de société
comme la déforestation et le braconnage. Un livre où la nature, l’amitié
et l’amour triomphent ; des valeurs auxquelles j’adhère. Voilà aussi
pourquoi j’ai choisi ce livre !<br />
Carole, maman de Sarah, 12 ans<br />
<br />
<b>Bibliothèque Rose ou Verte</b><br />
<span> </span>« Je vais leur demander de choisir dans les livres non
encore lus ! Pour la petite histoire, ma maman m'a rapporté toutes mes
bibliothèques rose et verte et autres livres de mon enfance. Il y en a
des piles dans leur chambre.<br />
Elles devraient choisir parmi la Bibliothèque Rose, une ou plusieurs aventures du Club des Cinq.<br />
Je leur achèterai aussi un livre, qu'elles choisiront, pendant nos vacances familiales. »<br />
Béatrice, maman de 2 jumelles de 8 ans et demi<br />
<br />
<b>Des magazines de mon enfance</b><br />
« On part en vacances chez les grands-parents. Les enfants piocheront
dans leur bibliothèque tous les magazines que je lisais petite et que
mes parents ont gardés. Hector pourra découvrir les <i>Belles Histoires</i> et <i>Pomme d’Api</i> de mon enfance, et Anatole, lui sera plutôt <i>J’aime lire </i>: un retour aux publications Bayard des années 80, qui n’ont toujours pas pris une ride ! »<br />
Sophie, maman d’Anatole, 7 ans, et d’Hector, 3 ans<br />
<br />
Et vous, que vont lire vos enfants pendant les vacances ?</div>
</div>
<div class="fej_dossierPart">
</div>
<div class="fej_dossierPart">
</div>
<div class="fej_bottomFacebook">
<span id="ctl00_ctl00_ctl00_PlaceHolderMainBase_PlaceHolderMainCommon_PlaceHolderMain_ArticleFooterActionSignature1"><div class="fej_auteurDossierIdfacebook">
Par Les parents Grainedecurieux.fr</div>
</span>
<br />
</div>
<span id="ctl00_ctl00_ctl00_PlaceHolderMainBase_PlaceHolderMainCommon_PlaceHolderMain_ArticleHeader2"><div class="gdc_articleHeader">
<div class="gdc_articleNav">
<a class="prev" href="http://www.grainedecurieux.fr/enfant/vacances-des-enfants/pages/bibliotheques-hors-les-murs.aspx"><span class="arrow"></span><span><br /></span></a><a class="postComBtn" href="https://www.blogger.com/null" id="ctl00_ctl00_ctl00_PlaceHolderMainBase_PlaceHolderMainCommon_PlaceHolderMain_ReactionsAndNotation1_btnAddReaction"><span class="whiteArrowGreyCircled"></span></a></div>
</div>
</span>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/14724381208833766050noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7780991609756351310.post-63506572348273645122014-06-22T00:44:00.000-07:002014-06-22T00:44:54.344-07:00soirée lecture<h1 class="title_article" itemprop="headline">
Lecture en grand chez les miniatures</h1>
<header id="header_article">
<time class="date" datetime="2014-06-21T08:40:36+02:00" itemprop="datePublished" pubdate="pubdate">Publié le 21/06/2014 à 08:40</time> <br />
</header>
<h2 class="sous_titre" itemprop="about">
La madeleine</h2>
<span>Le 21/06/2014</span>
<figure class="photo_article" id="container_photo" itemprop="primaryImageOfPage" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject">
<img alt="C'est la deuxième soirée lecture à l'Académie des miniatures." class="small-img" itemprop="contentURL" src="http://static.ladepeche.fr/content/media/image/zoom/2014/06/21/201406211724-full.jpg" /> <figcaption class="legende">
<div itemprop="description">
C'est la deuxième soirée lecture à l'Académie des miniatures. <span itemprop="author">
</span>
</div>
</figcaption>
<img id="picto_zoom" src="http://www.ladepeche.fr/images/pictos/zoom.png" title="Zoomer" />
</figure>
<div itemprop="articleBody">
L'Académie
des miniatures et des petits goûters ouvre ses portes pour une soirée
lecture. Ce samedi 21 juin à partir de 19h30 Catherine Jaurès propose
une soirée sur le thème de la musique. «Nous avons décidé de faire une
soirée lecture le 3e samedi de chaque mois. On pensait annuler ce samedi
à cause de la fête de la musique mais on a décidé d'en profiter,
explique t'elle, Il y a aura donc une lecture et toute une réflexion sur
la musique puis un ami viendra jouer de l'orgue de la barbarie.»<br />
<h2>
Le cadre s'y prête</h2>
C'est le 2e rendez-vous de ce genre que Catherine organise dans son
académie d'un nouveau genre. «Mon mari est un grand littéraire, tant
dans la production que dans la lecture, ajoute t'elle, L'idée s'articule
bien avec le musée. On s'est dit que le cadre se prêtait bien à la
réflexion. C'est un lieu intimiste qui est déjà poétique en soi.» C'est
en effet dans le jardin que la soirée lecture se tient. «Un cadre très
agréable avec une petite fontaine pour une ambiance familiale» insiste
Catherine. Les soirées lecture se prolongent souvent par un dîner
disponible sur réservation.<br />
Récemment ouverte l'Académie des miniatures s'est déjà construit une
belle réputation. Sur près de 200 mètres carrés on découvre des
intérieurs du 19e siècle à l'échelle 1/7e, fruit de l'extraordinaire
travail de reconstitution d'Annie Jaurès. «On a beaucoup de retours de
miniaturistes et d'associations qui nous disent que c'est exceptionnel
et qui nous remercie pour notre accueil. On tient à cette qualité !»
ajoute Catherine. Si les objets sont miniatures, l'accueil est grandiose
dans cette académie.<br />
Au 16 rue Rinaldi. Soirée lecture gratuite, pâtisseries et boissons
en vente. Académie ouverte de 10h à 19h sauf le jeudi. Entrée 5€, réduit
3,5€, gratuit pour les moins de 6 ans.</div>
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/14724381208833766050noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7780991609756351310.post-9302889925776225952014-05-31T01:42:00.002-07:002014-05-31T01:42:13.124-07:00Le plaisir de lire baisse chez les jeunes de 15 ans<div class="fig-article-header">
<div class="fig-article-headline">
<h1 itemprop="headline">
Le plaisir de lire baisse chez les jeunes de 15 ans</h1>
<b>
</b></div>
<b>
</b><br /><ul class="fig-metas">
<li><b>Par <span itemprop="author" itemscope="" itemtype="http://schema.org/Person"><a class="fig-anchor fig-picto-journaliste-haut" href="http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/09/09/01016-20110909ARTFIG00680-le-plaisir-de-lire-baisse-chez-les-jeunes-de-15-ans.php#auteur" itemprop="name">Marie-Estelle Pech</a></span></b>
</li>
</ul>
<b>
</b></div>
<b>
</b><div class="fig-main-media" itemprop="primaryImageOfPage" itemscope="" itemtype="http://schema.org/ImageObject">
<figure class="fig-photo fig-photo-norwd">
<b><img alt="Lorsqu'ils sont issus de milieux socio-économiques favorisés, les élèves sont 72 % à affirmer lire quotidiennement pour le plaisir, contre 56 % lorsqu'ils sont issus de milieux défavorisés." itemprop="contentURL" src="http://www.lefigaro.fr/medias/2011/09/09/1e939670-db34-11e0-b726-c45ce30061fc.jpg" /></b><figcaption class="fig-media-legende" itemprop="description"><b><span class="fig-media-credits"></span></b></figcaption>
</figure></div>
<div class="fig-chapo" itemprop="about">
<b>Les Français étaient 61 % à aimer lire en 2009 contre 70 % en 2000.</b></div>
<b> </b><div class="fig-adgps">
<div class="pub-caroussel-actualite">
<div class="fig-ad-placeholder">
<div id="sas_18317">
</div>
</div>
<b><a class="pub-carrousel-voir-offre fig-button arrow-right" href="http://ww691.smartadserver.com/diff/691/3293280/go2.asp?3293280%3B287331%3B687989223735575563%3B6972510026%3BS%3Bsystemtarget=%24qc%3d1310520890%3b%24ql%3dmedium%3b%24qpc%3d75001%3b%24qpp%3d0%3b%24qt%3d184_1903_42652t%3b%24dma%3d0%3b%24b%3d12220%3b%24o%3d11061%3b%24sh%3d768%3b%24sw%3d1280%3Btarget=%24iab%3d18t%3bposition%3d1%3brubrique%3dfrance%3bmots-cles%3deducation%3bmots-cles%3dlecture%3bmots-cles%3dlitterature%3bmots-cles%3djeunesse%3bartid%3d01016-20110909ARTFIG00680%3bauteur%3dmarie-estelle-pech%3bpage-payant%3d0%3btype%3dhome%3B10492425%3Bclickvars=" target="_blank"></a></b><div class="pub-carrousel-mini-count">
<b><span class="pub-carrousel-mini-count-prev item-1"></span><span class="pub-carrousel-counter"></span><br /><span class="pub-carrousel-mini-count-next item-1"></span></b></div>
</div>
<div class="fig-gps-placeholder">
<div class="pub-carrousel-mini pub-carrousel-mini-done-step-2" id="Carrousel-0">
<div class="pub-carrousel-mini-elem-container">
<div class="pub-carrousel-mini-elem">
</div>
</div>
</div>
</div>
</div>
<b>
</b><b>Les élèves de 15 ans, auxquels s'intéresse la
dernière étude internationale Pisa pour l'OCDE, lisent de moins en moins
par plaisir. En moyenne, parmi les pays de l'OCDE, en 2009, 37 % des
élèves affirment ne pas lire par plaisir, selon l'organisation
internationale. En Autriche et au Liechtenstein, plus de la moitié des
élèves de 15 ans sont dans ce cas. À l'opposé, en Albanie, au
Kazakhstan, en Thaïlande et en Chine, ils déclarent lire pour le plaisir
à plus de 90 %. Les jeunes Français qui étaient 70 % à aimer lire en
2000 ne sont plus que 61 % en 2009. Ce résultat est d'autant plus
inquiétant que la notion de «plaisir» est associée à de meilleures
performances à l'école. L'effondrement, à quelques exceptions près, est
mondial. Mais pourquoi la Bulgarie ou le Kazakhstan, pays moins avancés
économiquement que la France, la Grande-Bretagne ou les États-Unis, les
devancent dans cette notion de «plaisir de lecture» ? «C'est une
question économique, répond-on à l'OCDE, dans ces pays, souvent moins
développés, le livre est encore un objet parfois difficile à se
procurer. La perception de la lecture y est donc plus positive.»
Lorsqu'ils sont issus de milieux socio-économiques favorisés, les élèves
sont 72 % à affirmer lire quotidiennement pour le plaisir, contre 56 %
lorsqu'ils sont issus de milieux défavorisés. En France, la différence
des résultats entre ces deux publics peut dépasser les 20 pour cent.</b><br />
<b> </b><b>L'envie
de lire est un prédicteur fort de réussite scolaire, toutes les études
le démontrent, car la lecture reste nécessaire dans tous les domaines.
La motivation est le point de départ : «Pour entrer dans cette tâche au
départ abstraite et répétitive pour un enfant, il faut une certaine dose
de motivation. Certains jeunes ne voient pas les enjeux de la lecture.
Pour eux, c'est un outil purement scolaire et désagréable», explique
Bruno Germain, de l'Observatoire national de la lecture. «Le plaisir,
lui, ne se décrète pas. Il ne vient qu'avec la fluidité. On ne prend du
plaisir que parce que c'est devenu facile de lire, on n'a plus d'efforts
à faire. C'est une conséquence. Les enseignants emmènent régulièrement
les enfants à la bibliothèque, les engagent à lire mais ils ont d'abord
des objectifs plus scolaires, plus techniques. Le plaisir de lire dépend
aussi des parents».</b><br />
<b> </b><h3>
Une étude cantonnée au «papier»</h3>
<b> </b><b>Difficile
de dire en dépit de cette étude si les élèves lisent moins. «Les jeunes
lisent mais pas comme avant», expliquait le sociologue Bernard Lahire
dans un récent article du CNRS, consacré à cette question. La «lecture
scolaire» a en effet varié dans sa définition au cours de l'histoire.
Aujourd'hui, il n'est plus possible d'apprendre seulement à
«déchiffrer». Car il faut désormais comprendre ce qu'on lit, ce qui
signifie savoir répondre, le plus souvent par écrit, à toutes sortes de
questions sur les textes lus. Les exigences en matière de «savoir lire»
sont donc variables selon les époques, affirmait-il. «Nul doute qu'à
l'avenir, les nouvelles formes d'écrit sur écran produiront de nouvelles
modalités du lire et de nouvelles définitions du “bien lire” ou de
l'habileté à la lecture.» Il pointe aussi le fait que les enquêtes sur
la lecture ne portent pas toujours sur la lecture sur Internet,
grandissante chez les jeunes. Celle de l'OCDE s'est effectivement
cantonnée à l'écrit «papier».</b>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/14724381208833766050noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7780991609756351310.post-12739991439366280072014-04-27T06:29:00.005-07:002014-04-27T06:44:19.702-07:00Lire un bon roman modifierait biologiquement le cerveau<a href="http://www.maxisciences.com/lecture/actualite" itemprop="url"><span itemprop="title"></span>
</a>
<br />
<div class="left" id="col1">
<br />
<section class="bloc">
<article class="post story last-post" id="article" itemscope="" itemtype="http://schema.org/Article">
<header>
<div class="fvote right">
<h1 class="fs-omg" itemprop="Headline">
<br /></h1>
<b><br /></b><div class="button-medium button-flop submitflop left" data-p="1398605312::6dc6d6d54f2751d392bb99bac23cb3fd" data-push="mu163kBciSyBj3_6zfpTaN1a0koAWNdaEjAgBSk-nV2yHMdNXHp2PgxJ43mdkR32zbiz0XfL2e7P3G0bzHv8F3yQ3-5TS6jsEIDZ22c37ZnV8BZKdokuMsvie9VM3_GL">
</div>
<b>
</b></div>
<div id="actionreceiver">
<div class="post-actions clearfix mt10">
<div class="fvote right" itemprop="aggregateRating" itemscope="" itemtype="http://schema.org/AggregateRating">
</div>
</div>
</div>
<b>
</b></header><b>
</b><div class="articleBody clearfix" itemprop="articleBody">
<figure class="pic-container right w250"><b><img alt="Lire un roman pourrait accroitre le nombre de connexions neuronales dans certaines parties du cerveau" class="responsive-pic cadre zoom-in" itemprop="image" src="http://img.maxisciences.com/lecture/lire-un-roman-pourrait-accroitre-le-nombre-de-connexions-neuronales-dans-certaines-parties-du-cerveau_64380_w250.jpg" /></b></figure>
<strong>Selon une équipe de chercheurs, au cours des jours qui
suivent la lecture d’un roman, le cerveau subit des changements au
niveau des connexions neuronales et voit augmenter l’activité de
certaines de ses aires.</strong><br />
<b>Lire plus de livres fait-il partie de vos résolutions pour la
nouvelle année ? Non ? C'est bien dommage car il semblerait que le
pouvoir de la lecture aille bien au-delà que tout ce qu'on avait imaginé
jusqu'ici. C'est du moins ce qu'affirment des chercheurs de
l'Université d'Emory aux Etats-Unis. Selon leur étude publiée dans la
revue <em>Brain Connectivity</em>, la lecture d'un roman entrainerait des modifications importantes au niveau cérébral. </b><br />
<div id="sharereceiver">
<b><br /></b></div>
<b>"<em>Les histoires façonnent nos vies, et dans certains cas,
nous aident à nous définir. Nous souhaitons comprendre comment ces
histoires entrent dans notre <a class="tttag" data-t="1398605312::a696c07daf8e99209a8a47d0c086ecee" data-token="qua9ZwbxW5RshIPngRTQXmcz3oD8HPx5x0v16vaRZJ4Z6YdtJsn9-E5VlT8Tn1IPk1IKTKIdHOvOM8sjE-V-cA" href="http://www.maxisciences.com/cerveau/">cerveau</a>, et ce qu'elles lui font"</em>, explique Gregory S. Berns, auteur des travaux cité par <em>RedOrbit</em>.
De précédentes études ont montré que la lecture était capable de
transporter le lecteur dans l'environnement d'un personnage et surtout
lui faire ressentir les mêmes sentiments que ce dernier, explique <em>Actualitte.com</em>. </b><br />
<b>"<em>Il semble possible que, si quelque chose d'aussi simple qu‘un <a class="tttag" data-t="1398605312::3431354ff25f537f7119285b324b84bd" data-token="qua9ZwbxW5RshIPngRTQXmcz3oD8HPx5x0v16vaRZJ62qDP1nTtoN0IoSfdMHZ5YowXj8qBbuneb_JWJCmr_Ew" href="http://www.maxisciences.com/livre/">livre</a>
peut donner l'impression que sa vie a été changée, alors peut-être
est-il assez puissant pour provoquer des changements dans le
fonctionnement et la structure de notre cerveau</em>", explique le spécialiste repris par l'<em>Independent</em>. Pour le savoir, le Pr Berns et ses collègues ont donc mené une nouvelle étude auprès de 21 volontaires.</b><br />
<strong>Plus de connexions neuronales </strong><br />
<b>Pendant
19 jours consécutifs, les cerveaux des candidats ont été observés à
l'aide d'IRM. Les cinq premiers jours, l’imagerie cérébrale était
réalisée pendant qu’ils étaient au repos. Les neuf jours suivant, ils
ont été amenés à lire neuf passages de 30 pages de <em>Pompeii</em>, de
Robert Harris un texte qui combine des événements fictifs et
dramatiques. Dans ce roman, le personnage principal éloigné de Pompéi,
découvre les fumées qui se dégagent du volcan et "<em>tente de revenir à Pompéi à temps, pour sauver la femme qu'il aime"</em>. </b><br />
<b>"<em>Cela
raconte de vrais évènements d'une façon fictionnelle et dramatique. Il
était important pour nous que le livre ait une trame narrative forte</em>",
souligne le Pr Berns. Un questionnaire suivait les lectures pour
s'assurer que les participants avaient lu correctement, puis ils
subissaient une nouvelle séance d'IRM. Une fois toutes les observations
cérébrales réalisées et collectées, les chercheurs ont comparé les
résultats. </b><br />
<b>Au cours des matinées qui ont suivi la séance de
lecture, ils ont ainsi constaté une augmentation du nombre de connexions
neuronales dans la région du cortex temporal gauche. Une aire associée à
la réceptivité de la langue. De même, une connectivité accrue a été
observée au niveau de la région du cerveau associée à des
représentations sensorielles venant du corps. Mais ces augmentations
n'étaient pas que ponctuelles.</b><br />
<strong>Un changement durable </strong><br />
<b>"<em>Même
si les participants ne lisaient pas le roman, quand ils étaient face au
scanner, ils ont conservé cette connectivité accrue. Nous appelons cela
une “activité de l'ombre”, presque comme une mémoire musculaire</em>",
indique le Professeur Berns. Cette persistance s'est même prolongée cinq
jours après la lecture du roman, selon les chercheurs. Ceci prouve que
les effets de la lecture s'inscrivent dans une certaine durée.</b><br />
<b>"<em>Les
changements neuronaux que nous avons trouvé sont associés aux systèmes
des sensations physiques et des mouvements, ils suggèrent que lire un
roman peut vous transporter dans le corps du protagoniste. Nous savions
déjà que les bonnes histoires pouvaient vous faire prendre la place de
quelqu'un au sens figuré. Aujourd'hui, nous voyons que quelque chose
peut aussi se produire biologiquement</em>", commente le Pr Berns.</b><br />
<b>Par ailleurs, l'effet s'est prolongé cinq jours après la lecture du roman. "<em>Il
reste la question toujours ouverte, de savoir si ces changements
pourraient durer encore davantage. Mais le fait que nous les détections
durant quelques jours, à partir de passages pris au hasard, suggère que
nos livres pourraient avoir un effet plus important et durable sur la
biologie de notre cerveau</em>". </b><br />
</div>
<br /><b> </b><div class="articleBody clearfix" itemprop="articleBody">
<div style="left: -99999px; position: absolute;">
Les histoires façonnent
nos vies, et dans certains cas, nous aident à nous définir. Nous
souhaitons comprendre comment ces histoires entrent dans notre cerveau,
et ce qu'elles lui font", explique Gregory S. Berns, auteur des travaux
cité par RedOrbit. De précédentes études ont montré que la lecture était
capable de transporter le lecteur dans l'environnement d'un personnage
et surtout lui faire ressentir les mêmes sentiments que ce dernier,
explique Actualitte.com.
"Il semble possible que, si quelque chose d'aussi simple qu‘un livre
peut donner l'impression que sa vie a été changée, alors peut-être
est-il assez puissant pour provoquer des changements dans le
fonctionnement et la structure de notre cerveau", explique le
spécialiste repris par l'Independent. Pour le savoir, le Pr Berns et ses
collègues ont donc mené une nouvelle étude auprès de 21 volontaires.
Plus de connexions neuronales
Pendant 19 jours consécutifs, les cerveaux des candidats ont été
observés à l'aide d'IRM. Les cinq premiers jours, l’imagerie cérébrale
était réalisée pendant qu’ils étaient au repos. Les neuf jours suivant,
ils ont été amenés à lire neuf passages de 30 pages de Pompeii, de
Robert Harris un texte qui combine des événements fictifs et
dramatiques. Dans ce roman, le personnage principal éloigné de Pompéi,
découvre les fumées qui se dégagent du volcan et "tente de revenir à
Pompéi à temps, pour sauver la femme qu'il aime".
"Cela raconte de vrais évènements d'une façon fictionnelle et
dramatique. Il était important pour nous que le livre ait une trame
narrative forte", souligne le Pr Berns. Un questionnaire suivait les
lectures pour s'assurer que les participants avaient lu correctement,
puis ils subissaient une nouvelle séance d'IRM. Une fois toutes les
observations cérébrales réalisées et collectées, les chercheurs ont
comparé les résultats.
Au cours des matinées qui ont suivi la séance de lecture, ils ont ainsi
constaté une augmentation du nombre de connexions neuronales dans la
région du cortex temporal gauche. Une aire associée à la réceptivité de
la langue. De même, une connectivité accrue a été observée au niveau de
la région du cerveau associée à des représentations sensorielles venant
du corps. Mais ces augmentations n'étaient pas que ponctuelles.
Un changement durable
"Même si les participants ne lisaient pas le roman, quand ils étaient
face au scanner, ils ont conservé cette connectivité accrue. Nous
appelons cela une “activité de l'ombre”, presque comme une mémoire
musculaire", indique le Professeur Berns. Cette persistance s'est même
prolongée cinq jours après la lecture du roman, selon les chercheurs.
Ceci prouve que les effets de la lecture s'inscrivent dans une certaine
durée.
"Les changements neuronaux que nous avons trouvé sont associés aux
systèmes des sensations physiques et des mouvements, ils suggèrent que
lire un roman peut vous transporter dans le corps du protagoniste. Nous
savions déjà que les bonnes histoires pouvaient vous faire prendre la
place de quelqu'un au sens figuré. Aujourd'hui, nous voyons que quelque
chose peut aussi se produire biologiquement", commente le Pr Berns.
Par ailleurs, l'effet s'est prolongé cinq jours après la lecture du
roman. "Il reste la question toujours ouverte, de savoir si ces
changements pourraient durer encore davantage. Mais le fait que nous les
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suggère que nos livres pourraient avoir un effet plus important et
durable sur la biologie de notre cerveau".
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Hommes et femmes ont des cerveaux différents, ce qui explique les
différences d'aptitudes
Le cerveau des hommes et celui des femmes sont connectés différemment
Le rêve reste un phénomène mystérieux dont les mécanismes ne sont encore
pas bien compris
Pourquoi certains se souviennent-ils de leurs rêves et d'autres non ?
Un mythe affirme que nous n'utilisons que 10 pour cent de notre
cerveau... C'est faux
Quel pourcentage de notre cerveau utilisons-nous ?
En plaçant votre doigt le long de la ligne séparant les deux cubes, vous
vous apercevez que ces derniers sont en réalité de la même couleur.
Illusion d'optique : d'après vous, ces blocs sont-ils de la même couleur
?
Causes de la dyslexie : et si le cerveau avait un problème de
connexion ?
Les femmes ont besoin de plus de sommeil que les hommes
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Si vous fixez le centre de cette image en mouvement pendant 30 secondes
avant de détourner les yeux, les objets autour de vous apparaîtront
déformés.
Cette illusion d'optique va vous créer des hallucinations
La momie appartiendrait à une femme morte à un âge situé entre 30 et 50
ans il y a environ 1700 ans. Tous ses organes sauf son cerveau ont été
enlevés
Une momie retrouvée sans son cœur mais avec son cerveau
La main du chercheur Andrea Stocco a bougé grâce à l'activité cérébrale
de son collègue
Contrôler les mouvements d'un autre par la pensée, c'est désormais
possible
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Avec le projet franco-allemand baptisé BücherboXX-BliblioboXX, les
290.000 cabines téléphoniques françaises pourraient se recycler en
autant de mini-bibliothèques.
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Illustration : cerveau
Cerveau
<br /><br />En savoir plus: <a href="http://www.maxisciences.com/lecture/lire-un-bon-roman-modifierait-biologiquement-le-cerveau_art31693.html">http://www.maxisciences.com/lecture/lire-un-bon-roman-modifierait-biologiquement-le-cerveau_art31693.html</a><br />Copyright © Gentside Découverte</div>
<br />
<br />
<div style="left: -99999px; position: absolute;">
"Les histoires
façonnent nos vies, et dans certains cas, nous aident à nous définir.
Nous souhaitons comprendre comment ces histoires entrent dans notre
cerveau, et ce qu'elles lui font", explique Gregory S. Berns, auteur des
travaux cité par RedOrbit. De précédentes études ont montré que la
lecture était capable de transporter le lecteur dans l'environnement
d'un personnage et surtout lui faire ressentir les mêmes sentiments que
ce dernier, explique Actualitte.com.
"Il semble possible que, si quelque chose d'aussi simple qu‘un livre
peut donner l'impression que sa vie a été changée, alors peut-être
est-il assez puissant pour provoquer des changements dans le
fonctionnement et la structure de notre cerveau", explique le
spécialiste repris par l'Independent. Pour le savoir, le Pr Berns et ses
collègues ont donc mené une nouvelle étude auprès de 21 volontaires.
Plus de connexions neuronales
Pendant 19 jours consécutifs, les cerveaux des candidats ont été
observés à l'aide d'IRM. Les cinq premiers jours, l’imagerie cérébrale
était réalisée pendant qu’ils étaient au repos. Les neuf jours suivant,
ils ont été amenés à lire neuf passages de 30 pages de Pompeii, de
Robert Harris un texte qui combine des événements fictifs et
dramatiques. Dans ce roman, le personnage principal éloigné de Pompéi,
découvre les fumées qui se dégagent du volcan et "tente de revenir à
Pompéi à temps, pour sauver la femme qu'il aime".
"Cela raconte de vrais évènements d'une façon fictionnelle et
dramatique. Il était important pour nous que le livre ait une trame
narrative forte", souligne le Pr Berns. Un questionnaire suivait les
lectures pour s'assurer que les participants avaient lu correctement,
puis ils subissaient une nouvelle séance d'IRM. Une fois toutes les
observations cérébrales réalisées et collectées, les chercheurs ont
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région du cortex temporal gauche. Une aire associée à la réceptivité de
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la région du cerveau associée à des représentations sensorielles venant
du corps. Mais ces augmentations n'étaient pas que ponctuelles.
Un changement durable
"Même si les participants ne lisaient pas le roman, quand ils étaient
face au scanner, ils ont conservé cette connectivité accrue. Nous
appelons cela une “activité de l'ombre”, presque comme une mémoire
musculaire", indique le Professeur Berns. Cette persistance s'est même
prolongée cinq jours après la lecture du roman, selon les chercheurs.
Ceci prouve que les effets de la lecture s'inscrivent dans une certaine
durée.
"Les changements neuronaux que nous avons trouvé sont associés aux
systèmes des sensations physiques et des mouvements, ils suggèrent que
lire un roman peut vous transporter dans le corps du protagoniste. Nous
savions déjà que les bonnes histoires pouvaient vous faire prendre la
place de quelqu'un au sens figuré. Aujourd'hui, nous voyons que quelque
chose peut aussi se produire biologiquement", commente le Pr Berns.
Par ailleurs, l'effet s'est prolongé cinq jours après la lecture du
roman. "Il reste la question toujours ouverte, de savoir si ces
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peut donner l'impression que sa vie a été changée, alors peut-être
est-il assez puissant pour provoquer des changements dans le
fonctionnement et la structure de notre cerveau", explique le
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Plus de connexions neuronales
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observés à l'aide d'IRM. Les cinq premiers jours, l’imagerie cérébrale
était réalisée pendant qu’ils étaient au repos. Les neuf jours suivant,
ils ont été amenés à lire neuf passages de 30 pages de Pompeii, de
Robert Harris un texte qui combine des événements fictifs et
dramatiques. Dans ce roman, le personnage principal éloigné de Pompéi,
découvre les fumées qui se dégagent du volcan et "tente de revenir à
Pompéi à temps, pour sauver la femme qu'il aime".
"Cela raconte de vrais évènements d'une façon fictionnelle et
dramatique. Il était important pour nous que le livre ait une trame
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puis ils subissaient une nouvelle séance d'IRM. Une fois toutes les
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prolongée cinq jours après la lecture du roman, selon les chercheurs.
Ceci prouve que les effets de la lecture s'inscrivent dans une certaine
durée.
"Les changements neuronaux que nous avons trouvé sont associés aux
systèmes des sensations physiques et des mouvements, ils suggèrent que
lire un roman peut vous transporter dans le corps du protagoniste. Nous
savions déjà que les bonnes histoires pouvaient vous faire prendre la
place de quelqu'un au sens figuré. Aujourd'hui, nous voyons que quelque
chose peut aussi se produire biologiquement", commente le Pr Berns.
Par ailleurs, l'effet s'est prolongé cinq jours après la lecture du
roman. "Il reste la question toujours ouverte, de savoir si ces
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pas bien compris
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cerveau... C'est faux
Quel pourcentage de notre cerveau utilisons-nous ?
En plaçant votre doigt le long de la ligne séparant les deux cubes, vous
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ans il y a environ 1700 ans. Tous ses organes sauf son cerveau ont été
enlevés
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cité par RedOrbit. De précédentes études ont montré que la lecture était
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et surtout lui faire ressentir les mêmes sentiments que ce dernier,
explique Actualitte.com.
"Il semble possible que, si quelque chose d'aussi simple qu‘un livre
peut donner l'impression que sa vie a été changée, alors peut-être
est-il assez puissant pour provoquer des changements dans le
fonctionnement et la structure de notre cerveau", explique le
spécialiste repris par l'Independent. Pour le savoir, le Pr Berns et ses
collègues ont donc mené une nouvelle étude auprès de 21 volontaires.
Plus de connexions neuronales
Pendant 19 jours consécutifs, les cerveaux des candidats ont été
observés à l'aide d'IRM. Les cinq premiers jours, l’imagerie cérébrale
était réalisée pendant qu’ils étaient au repos. Les neuf jours suivant,
ils ont été amenés à lire neuf passages de 30 pages de Pompeii, de
Robert Harris un texte qui combine des événements fictifs et
dramatiques. Dans ce roman, le personnage principal éloigné de Pompéi,
découvre les fumées qui se dégagent du volcan et "tente de revenir à
Pompéi à temps, pour sauver la femme qu'il aime".
"Cela raconte de vrais évènements d'une façon fictionnelle et
dramatique. Il était important pour nous que le livre ait une trame
narrative forte", souligne le Pr Berns. Un questionnaire suivait les
lectures pour s'assurer que les participants avaient lu correctement,
puis ils subissaient une nouvelle séance d'IRM. Une fois toutes les
observations cérébrales réalisées et collectées, les chercheurs ont
comparé les résultats.
Au cours des matinées qui ont suivi la séance de lecture, ils ont ainsi
constaté une augmentation du nombre de connexions neuronales dans la
région du cortex temporal gauche. Une aire associée à la réceptivité de
la langue. De même, une connectivité accrue a été observée au niveau de
la région du cerveau associée à des représentations sensorielles venant
du corps. Mais ces augmentations n'étaient pas que ponctuelles.
Un changement durable
"Même si les participants ne lisaient pas le roman, quand ils étaient
face au scanner, ils ont conservé cette connectivité accrue. Nous
appelons cela une “activité de l'ombre”, presque comme une mémoire
musculaire", indique le Professeur Berns. Cette persistance s'est même
prolongée cinq jours après la lecture du roman, selon les chercheurs.
Ceci prouve que les effets de la lecture s'inscrivent dans une certaine
durée.
"Les changements neuronaux que nous avons trouvé sont associés aux
systèmes des sensations physiques et des mouvements, ils suggèrent que
lire un roman peut vous transporter dans le corps du protagoniste. Nous
savions déjà que les bonnes histoires pouvaient vous faire prendre la
place de quelqu'un au sens figuré. Aujourd'hui, nous voyons que quelque
chose peut aussi se produire biologiquement", commente le Pr Berns.
Par ailleurs, l'effet s'est prolongé cinq jours après la lecture du
roman. "Il reste la question toujours ouverte, de savoir si ces
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pas bien compris
Pourquoi certains se souviennent-ils de leurs rêves et d'autres non ?
Un mythe affirme que nous n'utilisons que 10 pour cent de notre
cerveau... C'est faux
Quel pourcentage de notre cerveau utilisons-nous ?
En plaçant votre doigt le long de la ligne séparant les deux cubes, vous
vous apercevez que ces derniers sont en réalité de la même couleur.
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?
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avant de détourner les yeux, les objets autour de vous apparaîtront
déformés.
Cette illusion d'optique va vous créer des hallucinations
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ans il y a environ 1700 ans. Tous ses organes sauf son cerveau ont été
enlevés
Une momie retrouvée sans son cœur mais avec son cerveau
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Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/14724381208833766050noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7780991609756351310.post-81861434849850352742014-03-27T04:11:00.001-07:002014-03-27T04:11:13.442-07:00la lecture dans les trains <strong>L'institut de sondage IFOP a réalisé pour le compte de Thalys
une étude portant sur la mobilité en Europe, examinant les quatre pays
traversés par le train - France, Allemagne, Belgique et Pays-Bas. Les
pratiques des voyageurs sont auscultées et détaillées, offrant un
intéressant panorama</strong><br />
<br />
<br />
<div style="text-align: center;">
<img alt="" height="600" src="http://actualitte.com/images/actualites/etude_IFOP_train_pratiques_europeens.png" width="548" /></div>
<br />
<br />
Dans les usages, il faut remarquer que les Allemands semblent les
plus mobiles, à 41 %, contre des Français encore à la traîne - 23 %.
Mais les voyages en train sont pour tous des moyens d'évasion et de
pause, selon 82 % des répondants. Et s'il faut trouver un point commun
rapprochant les peuples de chaque côté du Rhin, Français et Allemands
semblent tous deux apprécier le train à grande vitesse, à 38 % et 37 %.
En revanche, les Néerlandais favorisent à 58 % la voiture.<br />
<br />
«<em> Le voyage fait rêver, aussi bien les séniors curieux de
découvertes que les jeunes professionnels avides d'apprendre et
d'échanger. Le regard, à cheval sur 4 pays, de Thalys nous a semblé
intéressant à proposer. Le train offre en effet un point de vue unique
sur les modes de vie comme sur les pratiques économiques. Les Européens
ont beaucoup à partager</em> » commente Franck Gervais, directeur général de Thalys International.<br />
<br />
Or, ce que l'étude apprend, c'est que si les voyageurs sont 33 % à travailler, la lecture « <em>reste l'activité préférée en train - 83% pour les journaux et les magazines, 75% pour les livres </em>».
Et chose plus intéressante encore, ces chiffres concernent l'ensemble
des quatre pays. Cependant, les personnes se retrouvent de plus en plus
avec un jeu vidéo dans les mains, à 57 %. Et bien entendu, l'utilisation
de tablettes et d'ordinateurs portables mobilise l'attention.<br />
<br />
Voici le détail, pour la lecture de journaux ou magazines<br />
<br />
<div style="margin-left: 30px;">
Français 67 %</div>
<div style="margin-left: 30px;">
Allemands 80 %</div>
<div style="margin-left: 30px;">
Belges 71 %</div>
<div style="margin-left: 30px;">
Néerlandais 62 %</div>
<br />
et pour la lecture de livres :<br />
<br />
<div style="margin-left: 30px;">
Français 62 %</div>
<div style="margin-left: 30px;">
Allemands 75 %</div>
<div style="margin-left: 30px;">
Belges 59 %</div>
<div style="margin-left: 30px;">
Néerlandais 47 %</div>
<br />
Pour les déplacements professionnels en cumul des quatre pays, on
trouve respectivement 82 % pour presse et magazine et 75 % pour les
livres. Des chiffres similaires pour les déplacements personnels, sur la
base des quatre pays, avec 82 % et 75 %.<br />
<br />
<br />
<div style="text-align: right;">
<em><span style="color: #993300; font-size: medium;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva;"><strong>"Tablettes de lecture et supports papiers se croisent à bord de nos trains, où l'on observe de plus en plus de liseuses</strong></span>"</span></em></div>
<br />
<br />
Franck Gervais, CEO de Thalys, a accepté de répondre à nos questions,
pour approfondir les questions d'usages au sein des trains de la
société.<br />
<br />
<strong>Quels sont les genres les plus lus dans le Thalys (prenant en
compte que le train effectue des allers-retours Paris/Bruxelles, deux
capitales de la BD) ?</strong><br />
<br />
Nous n'avons malheureusement pas de chiffres détaillés sur ce point,
mais je peux vous affirmer que le roman reste un compagnon de voyage
incontournable pour beaucoup de nos clients. La bande dessinée présente
des fortes contraintes de format, pas forcément facile à glisser dans un
sac, mais depuis notre poste d'observation on voit bien le succès
grandissant du roman graphique. Ce matin encore la personne à côté de
moi lisait un ouvrage de Guy Delisle.<br />
<br />
<br />
<br />
<div style="text-align: center;">
<img alt="" height="620" src="http://actualitte.com/images/actualites/Franck_Gervais_2_c_David_Plas.jpg" width="412" /></div>
<div style="text-align: center;">
<span>Franck Gervais © David Plas</span></div>
<br />
<br />
<strong>Quels ouvrages sont oubliés dans le train, en retrouve-t-on beaucoup, si oui, lesquels ?</strong><br />
Si les voyageurs laissent et partagent facilement leurs quotidiens et
magazines, ils semblent rester très attachés au livre en tant qu'objet.
Même quand il est terminé, et même quand on a une longue journée devant
soi, on garde précieusement les livres ! Personnellement, je trouve le
bookcrossing aussi fascinant que généreux, mais c'est un phénomène qu'on
observe peu dans nos trains.<br />
<br />
<br />
<strong>Existe-t-il des programmes de prêt de livres envisagé (prendre le livre à Paris, le rendre à Bruxelles, ou inversement) ?</strong><br />
C'est une excellente idée ! [NdR : de rien, c'est cadeau ; mais dans ce cas, ActuaLitté serait partenaire ?]<br />
<br />
<br />
<strong>Assistez-vous à un développement de la lecture sur supports numériques ?</strong><br />
Effectivement, tablettes de lecture et supports papiers se croisent à
bord de nos trains, où l'on observe de plus en plus de liseuses. Notre
étude souligne que les voyageurs mixent les pratiques et les supports.
Trois quarts de nos clients lisent un livre au cours de leur voyage, un
sur deux joue sur un support numérique : ils sont nombreux à faire les
deux !<br />
Ce dialogue est très intéressant. À notre échelle, nous allons mettre
en test cet automne une offre de e-presse à bord. Et ce serait
formidable de pouvoir un jour proposer également des livres et des
bandes dessinées.<br />
<br />
<br />
L'étude a été réalisée auprès de 4025 personnes (un peu plus de mille
par pays), entre le 24 juin et le 3 juillet. Elle est ici consultable
dans son intégralité.<br />
<br />
<div style="overflow: hidden; position: relative;">
<div style="background: #CCC; margin: 0 auto;">
<div style="position: relative;">
<img alt="" src="http://www.youscribe.com/BookReader/RatioImage?width=210&height=297" style="display: block; height: auto; width: 100%;" /></div>
</div>
</div>
<a href="http://www.youscribe.com/catalogue/tous/ressources-professionnelles/analyses-et-etudes-sectorielles/etude-thalys-ifop-mobiles-les-europeens-2299140" title="Etude Thalys IFOP : Mobiles, les Européens ?">Etude Thalys IFOP : Mobiles, les Européens ?</a> publié parAnonymoushttp://www.blogger.com/profile/14724381208833766050noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7780991609756351310.post-89437429783571379922014-03-03T00:56:00.001-08:002014-03-03T00:56:21.859-08:00Jacques PRÉVERT (1900-1977)<br /><h2 class="poemetitre">
Jacques PRÉVERT (1900-1977)</h2>
<h3>
Sa biographie</h3>
<div class="poemeimg">
<img alt="Portrait de Jacques PRÉVERT" src="http://www.unjourunpoeme.fr/wp-content/images/448.jpg" title="Portrait de Jacques PRÉVERT" />
</div>
Jacques Prévert est un poète et scénariste français, né le 4
février 1900 à Neuilly-sur-Seine, et mort le 11 avril 1977 à
Omonville-la-Petite (Manche). Après le succès de son premier recueil de
poèmes, « Paroles », il devint un poète populaire grâce à son langage
familier et ses jeux de mots. Ses poèmes sont depuis lors célèbres dans
le monde francophone et massivement appris dans les écoles françaises.
Il a également écrit des scénarios pour le cinéma.<br />
Jacques Prévert naît au 19 de la rue de Chartres à Neuilly-sur-Seine
(actuellement Hauts-de-Seine) le 4 février 1900. Il y passe son enfance.
Son père André Prévert, fait divers métiers pour gagner sa vie et de la
critique dramatique et cinématographique par plaisir. Il l’emmène
souvent au théâtre et au cinéma. Suzanne, sa mère (née Catusse),
l’initie à la lecture. Il s’ennuie à l’école, et dès 15 ans, après son
certificat d’études, il la quitte. Il multiplie alors les petits
travaux, notamment au grand magasin Le Bon Marché. D’abord mobilisé en
1918, son service militaire se poursuit à Saint-Nicolas-de-Port où il
rencontre Yves Tanguy avant d’être envoyé à Istanbul où il fera la
connaissance de Marcel Duhamel.<br />
En 1925, il participe au mouvement surréaliste, qui se regroupe au 54
de la rue du Château près de Montparnasse. C’est en fait un logement «
collectif » où habitent Marcel Duhamel, Raymond Queneau et Yves Tanguy.
C’est Prévert qui trouvera le terme de cadavre exquis pour définir le
jeu littéraire auquel ses amis et lui se livrent. Prévert est toutefois
trop indépendant d’esprit pour faire véritablement partie d’un groupe
constitué, quel qu’il soit. Il supporte mal les exigences d’André
Breton, et la rupture est consommée en 1930. En 1932, il écrit les
textes pour le groupe « Octobre » et il participera aux Olympiades du
théâtre à Moscou.<br />
Il est le scénariste et dialoguiste de grands films français des
années 1935-1945, notamment « Drôle de drame », « Le Quai des brumes »,
« Le jour se lève », « Les Visiteurs du soir », « Les Enfants du
paradis » et « Les Portes de la nuit » de Marcel Carné, « Le Crime de
Monsieur Lange » de Jean Renoir, « Remorques et Lumière d’été » de Jean
Grémillon. Il a, à deux reprises, adapté des contes de Hans Christian
Andersen, d’abord « La Bergère et le Ramoneur » devenu « Le Roi et
l’Oiseau », film d’animation de Paul Grimault en 1957, puis en 1964,
« Grand Claus et Petit Claus », autre conte d’Andersen, à la télévision,
« Le Petit Claus et le Grand Claus » de son frère Pierre Prévert.<br />
Ses poèmes sont mis en musique par Joseph Kosma dès 1935 (À la belle
étoile) : ses interprètes seront entre autres Agnès Capri, Juliette
Gréco, Les Frères Jacques, Yves Montand. Son recueil « Paroles », publié
en 1946, obtient un vif succès.<br />
Il écrit des pièces de théâtre. Son anticléricalisme, parfois
violent, est souvent occulté par le public, au profit de ses thèmes sur
l’enfance et la nature.<br />
Sa fille Michèle naît en 1946. Il épouse Janine Tricotet en 1947.<br />
Le 12 octobre 1948, il tombe d’une porte-fenêtre, et reste plusieurs jours dans le coma.<br />
Son domicile parisien est situé dans le quartier de Montmartre, au
fond d’une petite impasse derrière le Moulin Rouge, sur le même palier
que Boris Vian.<br />
Son domicile secondaire est à Antibes, mais, à la suite de la
résiliation de son bail par le propriétaire qui souhaitait récupérer
l’appartement des remparts et n’ayant pu obtenir le soutien du maire
pour le garder, il doit quitter Antibes. Sur les conseils du décorateur
Alexandre Trauner, il achète alors une maison en 1971 à
Omonville-la-Petite, dans la Manche. Le 11 avril 1977, il y meurt des
suites d’un cancer du poumon, lui qui avait toujours la cigarette à la
bouche. Il avait 77 ans.<br />
Aux côtés de sa femme, de sa fille et d’Alexandre Trauner, il est
enterré au cimetière d’Omonville-la-Petite, où l’on peut également y
visiter sa maison. Non loin de là, à Saint-Germain-des-Vaux, ses amis
ont aménagé un jardin dédié au poète.Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/14724381208833766050noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7780991609756351310.post-58074459135695137842014-02-21T02:13:00.000-08:002014-02-21T02:13:14.221-08:00Quel bénéfice retirent l’enfant et l’adulte à “ partager ” un conte ?<div class="megaban">
</div>
<span class="titre_span">Lecture </span>
<h1 class="title_important">
Qu’apporte la lecture de contes aux enfants ? </h1>
<div class="box_habillage">
<div class="box_visuel">
<table border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" class="box_visuel_center">
<tbody>
<tr>
<td> <img alt="Poule_PlumetteMEA" src="http://www.vosquestionsdeparents.fr/uploads/medias//IMAGES_MILAN/vitrine_hpp_contes/Poule_PlumetteMEA.jpg" style="margin-bottom: 5px;" /> </td>
</tr>
</tbody></table>
</div>
<br /><div class="block_sponsor">
<div class="liste_link_sponsor">
<table border="0"><tbody>
<tr>
<td> <a href="http://www.histoirespourlespetits.com/" target="_blank" title="histoirespourlespetits.com"><img alt="wapiti.com" border="0" src="http://www.vosquestionsdeparents.fr/uploads/medias//fleche.gif" /></a> </td> <td valign="top"><br /></td> </tr>
<tr>
<td> <a href="https://milan.bayardweb.com/product/HPP?lblorig=BJ_ST_VQDP_Sponsoring" target="_blank" title="Abonnement à Histoires pour les petits"><img alt="Abonnement à Histoires pour les petits" border="0" src="http://www.vosquestionsdeparents.fr/uploads/medias//fleche.gif" /></a> </td> <td valign="top"><br /></td> </tr>
</tbody></table>
</div>
</div>
</div>
<div class="important">
Les parents peuvent avoir envie de préserver leur enfant des histoires
et des contes qui font peur. Mais s’ils étaient plus structurants
qu’effrayants ? Entretien avec Michel Develay, professeur émérite à
l'Université Lyon II et fervent raconteur de contes à ses
petits-enfants…</div>
<br />
<h2>
Quel bénéfice retirent l’enfant et l’adulte à “ partager ” un conte ?</h2>
<strong>Michel Develay :</strong> Pour cerner toute la portée du <strong>conte</strong>, il faut d'emblée distinguer son mode d'écriture de son contenu. Dans le conte, le <strong>schéma narratif</strong> introduit nécessairement un <strong>suspense</strong>. Ce qui, pour les enfants, est toujours intéressant. <br /><br />Ce <strong>suspense</strong>, en général, se conclut de <strong>façon positive</strong>. Ces ingrédients, suspense et fin heureuse, sont les meilleurs pour tenir en haleine un enfant et, finalement, le <strong>rassurer</strong>.<br />
<h2>
À ce titre, peut-on parler de valeur pédagogique du conte ?</h2>
<strong>M. D. :</strong> Tout à fait. Le conte crée une relation de <strong>proximité bienveillante</strong> et attentive entre le (ra)conteur et celui qui l'écoute. Et quand bien même l'enfant traverse un schéma d'<strong>angoisse</strong>, il croise en cours de route un <strong>rêve</strong>, un <strong>idéal</strong>, qui l'enrichit.<br />
<h2>
Au fond, de quoi parle le conte ?</h2>
<strong>M. D. :</strong> De l'humain ! Les contes sont des <strong>histoires</strong> contrastées, dans lesquelles les personnages tiennent des <strong>rôles symboliques</strong> clairs. Grâce à ce trait de caractère, ils posent une <strong>éthique</strong> et pratiquent <strong>la morale</strong>… sans en faire ! En résumé, le conte est moral, sans être moraliste.<br />
<h2>
Cette morale, diffuse, est-ce ce qui distingue le conte de la fable ?</h2>
<strong>M. D. :</strong>
La fable pose une morale conclusive distincte, ne relevant pas
nécessairement de l'éthique. Ce que raconte le conte, c'est tout ce que
l'<strong>on ne dit pas à un jeune enfant</strong> et qui, pourtant, occupe son <strong>inconscient</strong> : les fondamentaux de la nature humaine, à savoir l'<strong>inceste</strong>, la <strong>sexualité </strong>ou la <strong>castration</strong>…<br />
<h2>
Le conte a donc aussi une valeur psychanalytique ?</h2>
<strong>M. D. :</strong> Pour conclure sur cet aspect, j'ai envie d'ajouter que le conte introduit le <strong>statut de l'enfant </strong>: en respectant son savoir sans brusquer ses <strong>connaissances</strong>, le conte inscrit l'enfant parmi les hommes.Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/14724381208833766050noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7780991609756351310.post-43173947597223009712014-02-13T02:16:00.001-08:002014-02-13T02:16:05.324-08:00Le plaisir de lire baisse chez les jeunes<div class="fig-article-header">
<div class="fig-article-headline">
<h1 itemprop="headline">
Le plaisir de lire baisse chez les jeunes</h1>
<h1 itemprop="headline">
de 15 ans</h1>
<b>
</b></div>
<b>
</b></div>
<b>
</b><div class="fig-chapo" itemprop="about">
<b>Les Français étaient 61 % à aimer lire en 2009 contre 70 % en 2000.</b></div>
<b> </b><div class="fig-adgps">
<div class="fig-ad fig-ad-pave">
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</div>
</div>
</div>
</div>
</div>
<b>
</b><b>Les élèves de 15 ans, auxquels s'intéresse la
dernière étude internationale Pisa pour l'OCDE, lisent de moins en moins
par plaisir. En moyenne, parmi les pays de l'OCDE, en 2009, 37 % des
élèves affirment ne pas lire par plaisir, selon l'organisation
internationale. En Autriche et au Liechtenstein, plus de la moitié des
élèves de 15 ans sont dans ce cas. À l'opposé, en Albanie, au
Kazakhstan, en Thaïlande et en Chine, ils déclarent lire pour le plaisir
à plus de 90 %. Les jeunes Français qui étaient 70 % à aimer lire en
2000 ne sont plus que 61 % en 2009. Ce résultat est d'autant plus
inquiétant que la notion de «plaisir» est associée à de meilleures
performances à l'école. L'effondrement, à quelques exceptions près, est
mondial. Mais pourquoi la Bulgarie ou le Kazakhstan, pays moins avancés
économiquement que la France, la Grande-Bretagne ou les États-Unis, les
devancent dans cette notion de «plaisir de lecture» ? «C'est une
question économique, répond-on à l'OCDE, dans ces pays, souvent moins
développés, le livre est encore un objet parfois difficile à se
procurer. La perception de la lecture y est donc plus positive.»
Lorsqu'ils sont issus de milieux socio-économiques favorisés, les élèves
sont 72 % à affirmer lire quotidiennement pour le plaisir, contre 56 %
lorsqu'ils sont issus de milieux défavorisés. En France, la différence
des résultats entre ces deux publics peut dépasser les 20 pour cent.</b><br />
<b> </b><b>L'envie
de lire est un prédicteur fort de réussite scolaire, toutes les études
le démontrent, car la lecture reste nécessaire dans tous les domaines.
La motivation est le point de départ : «Pour entrer dans cette tâche au
départ abstraite et répétitive pour un enfant, il faut une certaine dose
de motivation. Certains jeunes ne voient pas les enjeux de la lecture.
Pour eux, c'est un outil purement scolaire et désagréable», explique
Bruno Germain, de l'Observatoire national de la lecture. «Le plaisir,
lui, ne se décrète pas. Il ne vient qu'avec la fluidité. On ne prend du
plaisir que parce que c'est devenu facile de lire, on n'a plus d'efforts
à faire. C'est une conséquence. Les enseignants emmènent régulièrement
les enfants à la bibliothèque, les engagent à lire mais ils ont d'abord
des objectifs plus scolaires, plus techniques. Le plaisir de lire dépend
aussi des parents».</b><br />
<b> </b><h3>
Une étude cantonnée au «papier»</h3>
<b> </b><b>Difficile
de dire en dépit de cette étude si les élèves lisent moins. «Les jeunes
lisent mais pas comme avant», expliquait le sociologue Bernard Lahire
dans un récent article du CNRS, consacré à cette question. La «lecture
scolaire» a en effet varié dans sa définition au cours de l'histoire.
Aujourd'hui, il n'est plus possible d'apprendre seulement à
«déchiffrer». Car il faut désormais comprendre ce qu'on lit, ce qui
signifie savoir répondre, le plus souvent par écrit, à toutes sortes de
questions sur les textes lus. Les exigences en matière de «savoir lire»
sont donc variables selon les époques, affirmait-il. «Nul doute qu'à
l'avenir, les nouvelles formes d'écrit sur écran produiront de nouvelles
modalités du lire et de nouvelles définitions du “bien lire” ou de
l'habileté à la lecture.» Il pointe aussi le fait que les enquêtes sur
la lecture ne portent pas toujours sur la lecture sur Internet,
grandissante chez les jeunes. Celle de l'OCDE s'est effectivement
cantonnée à l'écrit «papier».</b><br />
<b> </b><div class="photo center" style="width: 493px;">
<b><img alt="" border="0" src="http://www.lefigaro.fr/medias/2011/09/09/bbfc424c-db32-11e0-b726-c45ce30061fc.jpg" style="height: 385px; width: 493px;" /></b> </div>
<b> </b><hr />
<b> </b><h3>
«La lecture reste fondamentale pour réussir»</h3>
<b> </b> <b><i>Trois questions à Sophie Vayssettes, analyste à la direction Éducation de l'OCDE.</i></b> <br />
<b> </b> <strong>Pourquoi les élèves perdent-ils le goût de lire des livres ? </strong> <br />
<b> </b><b>Le
plaisir de lire s'est effondré partout dans le monde, sauf au Japon,
entre 2000 et 2009. Il ne s'agit pas d'une question de pédagogie puisque
cet effondrement est mondial. L'une des explications avancées, c'est
que la lecture est concurrencée. Les jeunes passent de plus en plus de
temps sur les réseaux sociaux, les jeux vidéo, etc. L'apparition des
écrans ne date pas de 2000, mais l'offre de loisirs a beaucoup augmenté
depuis ce temps. Le livre n'est plus le premier vecteur culturel. Il
n'est qu'un média parmi d'autres.</b><br />
<b> </b> <strong>L'envie de lire est-elle fondamentale pour réussir ? </strong> <br />
<b> </b><b>L'envie
de lire explique 18 % de la variation des performances scolaires dans
l'enquête Pisa. Si on regarde la différence entre le quart des élèves
qui dit apprécier lire et le quart qui n'apprécie pas, on compte un
écart de trois années scolaires ! Le fait d'aimer lire et le fait
d'obtenir de bonnes performances sont liés. La lecture reste
fondamentale pour réussir, elle est partout nécessaire. Selon nos
résultats, les grands lecteurs de fiction obtiennent les meilleurs
résultats. Mais les élèves qui réussissent le mieux sont ceux qui
utilisent différents types de lecture (BD, romans, journaux). Ceux qui
ne sont focalisés que sur un seul type de lecture réussissent moins
bien.</b><br />
<b> </b> <strong>Va-t-on lire différemment à l'avenir ?</strong> <br />
<b> </b><b>Il
y a aujourd'hui tellement d'alternatives à la lecture pour découvrir et
comprendre le monde qu'une baisse de la lecture classique n'est pas
forcément étonnante. Cela dit, les jeunes ne lisent pas forcément moins
mais différemment. Ils lisent peut-être moins les grands auteurs mais
davantage de petits articles et informations, ce qui n'est pas toujours
valorisé. C'est tout le paradoxe, la lecture est partout aujourd'hui,
même sur les écrans, mais cette lecture numérique est différente.</b>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/14724381208833766050noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7780991609756351310.post-75749703185897470282014-02-11T10:45:00.000-08:002014-02-11T10:48:32.800-08:00 Parmi les seize écrivains les plus riches au classement Forbes, aucun n’est français.<h3 class="s2 size-11">
<b> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://www.atlantico.fr/sites/default/files/imagecache/Une/biblio_0.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="http://www.atlantico.fr/sites/default/files/imagecache/Une/biblio_0.jpg" height="176" width="320" /></a></div>
</b></h3>
<h3 class="s2 size-11">
<b>Atlantico : Parmi les seize écrivains les
plus riches au classement Forbes, aucun n’est français. Les Américains
comme Stephen King, Dan Brown ou l’auteure de <i>Fifty Shades of Grey</i>,
E.L. James, qui est en tête avec 95 millions de dollars, occupent le
haut du pavé. Pourquoi les auteurs anglo-saxons se vendent-ils mieux que
les autres ?</b></h3>
<div class="size-10">
<b>Mohammed Aïssaoui :</b>
Cela tient à la langue et aux habitudes de narration. L’anglais est
tellement présent dans le monde que le marché est plus vaste pour eux.
Un auteur français et son équivalent anglophone ne s’adressent pas à des
marchés potentiels de même taille. Mais cela ne tient pas seulement à
la qualité de la diffusion. L’approche littéraire a, elle aussi, son
importance. <b>Les anglo-saxons sont des raconteurs d’histoires ; tous les grands auteurs font du <i>creative writing</i>
(ateliers de création littéraire), alors que jamais vous n’entendrez un
Français dire qu’il est passé par là. En France, un écrivain n’apprend
pas à écrire.</b></div>
<div class="size-10">
Le classement des auteurs,
que ce soit celui des plus riches ou des plus lus, change très peu d’une
année sur l’autre, et sera sensiblement le même dans cinq ou dix ans.
En effet, <b>ce sont des auteurs prolixes, voire des fabricants,
qui publient trois à quatre romans par an, et chaque fois le succès de
leur nouveau livre draine celui de leurs précédents</b> : lorsque le nouveau est vendu, l’éditeur de poche publie le précédent, qui connaît un deuxième souffle. <b>C’est ce qui est en train d’arriver à David Foenkinos, qui pourtant est un auteur littéraire, grâce à <i>La Délicatesse</i>, qui a eu un certain succès populaire.</b></div>
<div class="size-10">
<b>Antoine Bueno :</b>
Il existe une bonne et une mauvaise explication. La mauvaise consiste
dans l'auto flagellation toute française selon laquelle nous serions en
pleine chute et que nous devrions imiter les États-Unis – contre-modèle
absolu selon moi -, qui savent raconter des histoires, de manière
efficace, à l'inverse de nous. Cela est faux. En France, nous faisons
beaucoup de littérature <i>mainstream</i>, à savoir tout ce qui n'est pas littérature de genre. <b>Cette littérature <i>mainstream </i>est celle dont<i> </i>on
parle à la rentrée littéraire : romans d'atmosphère, sociaux,
existentiels, etc. Bien évidemment, ces œuvres dont nous raffolons ne
correspondraient pas à l'attente du marché américain.</b> Mais nous
proposons aussi de la littérature de genre, comme les Américains, à la
différence près que celle-ci est minoritaire chez nous : policier,
thriller, science-fiction, fantasy, etc. <b>Ce qui, chez nous, est
une niche, représente l'essentiel de la production littéraire
américaine. Nos deux modèles sont tout simplement inversé</b>s.</div>
<div class="size-10">
Pour
autant, nos auteurs de genre seraient-ils moins bons que leurs
homologues américains ? Pas du tout, car nous avons d'excellents <i>story tellers</i>.
Le nombre de publications en France est tel que même si nos auteurs de
genre sont minoritaires, ils restent tout de même nombreux. Nos stars de
la Série noire satisferaient tout à fait le public américain, et c'est
là qu'on en arrive à la vraie raison de leur absence du classement des
auteurs les plus riches : <b>en littérature, comme dans tous les
domaines culturels, la concurrence ente les anglo-saxons et le reste du
monde est asymétrique. Les Américains en particulier, sont extrêmement
protectionnistes, et empêchent la pénétration de produits culturels
étrangers</b>, à moins de les américaniser, comme cela est fait pour les films avec les <i>remakes. </i>Un
auteur français, même s'il vend beaucoup, a très peu de chances d'être
traduit aux États-Unis. Étant très tournés vers eux-mêmes, les
Américains s'en tiennent à leurs propres auteurs.</div>
<h3 class="s2 size-11">
<b>Que manque-t-il aux auteurs français pour
parvenir à des ventes aussi importantes que celles de leurs homologues
anglo-saxons ? Cela tient-il uniquement à une diffusion moins importante
à l’étranger ?</b></h3>
<div class="size-10">
<b>Mohammed Aïssaoui : </b>Les
faits parlent d’eux-mêmes : les auteurs français qui vendent le plus
dans le monde, par millions, sont Marc Levy, Guillaume Musso, Katherine
Pancol, etc. Michel Houellebecq vend aussi beaucoup, mais dans un
registre différent, en <i>racontant</i> tout de même une société. <b>Ce ne sont pas les romanciers intimistes qui fonctionnent, mais les raconteurs d’histoires. </b></div>
<h3 class="s2 size-11">
<b>Le
succès systématique des romans des auteurs appartenant à cette liste
Forbes signifie-t-il que pour qu’un livre rencontre le succès
commercial, il doit répondre à des critères bien spécifiques ? Quels
sont-ils ? Cela se fait-il au prix d’une certaine prévisibilité du
contenu ?</b></h3>
<div class="size-10">
<b>Mohammed Aïssaoui : </b>Il
faut nécessairement une intrigue, un suspense et des rebondissements,
de manière à en faire un « film écrit ». Cette « prévisibilité » peut
donner lieu à des débats, mais <b>ne confondons pas le classement
des meilleurs ventes ou des auteurs les plus riches avec la qualité
littéraire, au risque de tomber dans le snobisme.</b> <b>Ce sont deux choses totalement différentes.</b>
Chaque année, au Figaro, nous procédons au classement des livres les
plus lus, sans pour autant porter un jugement qualitatif comme on le
ferait pour des auteurs littéraires.</div>
<div class="size-10">
Les qualités
de ces ouvrages littéraires sont autres que l’écriture. Le talent de Dan
Brown, pour ne citer que lui, consiste à savoir raconter une histoire
et à tenir en haleine des millions de lecteurs. <b>Ne jugeons pas de la même manière des choses qui répondent à des besoins différents : <i>Fifty Shades of Grey </i>n’a pas été publié avec le Goncourt, ou autre, en ligne de mire</b>, mais pour cibler un lectorat de jeunes mères amatrice de porno soft.</div>
<div class="size-10">
<b>Antoine Bueno :</b>
Il s'agit d'une littérature efficace, comparable à l'écriture des
séries télé. Il existe un certain nombre de techniques identifiées,
systématiquement exploitées. Ces techniques peuvent être modulées à
l'infini, mais elles restent les mêmes. Les livres de Stephen King
fonctionnent très bien, mais il ne s'agit que de variations. Bernard
Werber, dont seule la série des <i>Fourmis</i> a été traduite aux États-Unis, fonctionne sur ce mode.</div>
<h3 class="s2 size-11">
<b>Pourquoi les auteurs français sont-ils en général moins des « raconteurs d’histoires » que les Américains ?</b></h3>
<div class="size-10">
<b>Mohammed Aïssaoui : </b>Cela
est lié à l’histoire littéraire française. Le Nouveau roman, pendant un
demi-siècle, a cannibalisé la littérature française. Il consiste à ne
pas raconter d’histoire, mais à faire des descriptions. <b>Tous
ceux qui se sont mis à vouloir être écrivains se sont intégrés à ce
moule, et la France n’a jamais vraiment développé les raconteurs
d’histoires.</b> Mais qui sait si dans vingt ou cent ans Marc Levy
sera toujours lu ? Peut-être. On peut supposer avec un peu plus de
certitude que Houellebecq le sera toujours, car il décrit une société à
un moment donné de l’histoire de l’humanité. <b>Stefan Zweig, dont les livres se vendent par milliers, était pris par ses contemporains pour un auteur sentimental…</b></div>
<i>Propos recueillis par Gilles Bouti</i>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/14724381208833766050noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7780991609756351310.post-83176125774756015572014-02-07T02:09:00.000-08:002014-02-07T02:20:06.605-08:00André Gide (1869-1951)<b>
</b><b>
</b><b>
</b><br />
<span style="font-size: small;">
</span><table border="0" cellpadding="5" cols="2" style="width: 85%px;"><tbody>
<tr><td><center>
<span style="font-family: Arial;">
<h2>
<span style="font-size: small;">André Gide</span></h2>
<span style="font-size: small;">
</span><span style="font-size: small;"><b>
</b></span><span style="font-size: small;"><b>(1869 - 1951)</b></span></span><span style="font-size: small;"><b>
</b></span></center>
<span style="font-size: small;"><b>
</b></span></td><td><center>
<span style="font-size: small;"><img src="http://atheisme.free.fr/Biographies/Photos/Gide.jpg" height="200" title="Biographie d'André Gide (1869-1951), auteur des Nourritures Terrestres, des Caves du Vatican, des Faux-monnayeurs..." width="152" /></span></center>
</td></tr>
</tbody></table>
<span style="font-size: small;"><b>
<br />
</b></span><br />
<table border="" cellpadding="8" cols="1">
<tbody>
<tr>
<td><div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: small;"><b><span style="font-family: Arial,Helvetica;">
</span></b></span>
<h4>
<span style="font-size: small;"><b><span style="font-family: Arial,Helvetica;">
Biographie d'André Gide : </span></b></span></h4>
<span style="font-size: small;"><b><span style="font-family: Arial,Helvetica;">
Ecrivain français, issu d'une famille de la haute bourgeoisie
protestante. Il s'affranchit de son éducation puritaine, dans les
Nourritures terrestres, en 1897, en exprimant son goût pour la vie. Il
subit à ses débuts l'influence des symbolistes et ses écrits de jeunesse
restent sans succès. Il participe à la vie littéraire (L'Hermitage avec
Paul Claudel, Henri Ghéon, Francis Jammes, Paul Valéry) et fonde la
Nouvelle Revue Française (NRF) où il défend une école de la rigueur et
du classicisme. En 1909, André Gide rompt avec Paul Claudel qui avait
espéré le convertir au christianisme, mais vit une crise religieuse
pendant la première guerre mondiale.<br />
<br />
Dans "les caves du Vatican", roman burlesque publié à la veille de la
guerre, André Gide expose sa théorie de l'acte gratuit, portée par son
personnage célèbre, Lafcadio. En <a href="http://atheisme.free.fr/Citations/Style_e.htm#epigraphe">épigraphe</a>, l'auteur a choisi une citation de Georges Palante: <span style="color: #990000;">"Pour ma part, mon choix est fait, j'ai opté pour l'athéisme social"</span>. Il acquiert la notoriété après la guerre et a une grande influence sur de nombreux écrivains.<br />
<br />
André Gide montre à la fois un désir de prendre parti dans les grands
problèmes de son époque (contre le colonialisme, pour le pacifisme et le
communisme…), tout en faisant preuve de méfiance pour toute forme
d'engagement. Son enthousiasme pour le communisme s'éteint dans la
douleur après son voyage en URSS qui l'amènera à dénoncer le stalinisme.<br />
<br />
Bien qu'étant classique dans son style, André Gide rejette tout
conformisme dans les idées. Sa personnalité est complexe, à la fois
sensible et puritaine, tourmenté par le doute et l'inquiétude. Il refuse
toute servitude familiale, sociale, religieuse pour mieux vivre dans
l'instant et renaître chaque jour.<br />
Il reçoit le prix Nobel de littérature en 1947.
</span></b></span></div>
</td>
</tr>
<tr>
<td><div style="text-align: justify;">
<span style="font-size: small;"><b><span style="font-family: Arial,Helvetica;">
Bibliographie :
Le traité de Narcisse (1891), Paludes (1895), Les nourritures terrestres
(1897), L'immoraliste (1902), Prétextes (1903), Saül (1903), La porte
étroite (1909), Retour de l'enfant prodigue (1909), Les caves du Vatican
(1914), La symphonie pastorale (1919), Si Le Grain ne meurt (1921),
Corydon (1924), Les faux-monnayeurs (1925), Voyage au Congo (1927), Les
Nouvelles Nourritures (1935), Retour de l'URSS (1936), Journal
(1939-1946,1950), Correspondance (1948-1964), Ainsi soit-il ou Les Jeux
sont faits (1952).
</span></b></span></div>
</td>
</tr>
<tr>
<td><span style="font-size: small;"><b><span style="font-family: Arial,Helvetica;">Liens:<br />
<a href="http://www.gidiana.net/" target="_blank">
gidiana.net
</a><br />
<a href="http://www.alalettre.com/gide-intro.htm" target="_blank">
alalettre.com - André Gide
</a><br />
<a href="http://perso.orange.fr/mondalire/gide.htm" target="_blank">
Un monde à lire - André Gide
</a><br />
</span></b></span></td>
</tr>
</tbody></table>
<span style="font-size: small;"><b>
<br />
<br />
<span style="font-family: Arial,Helvetica;">
</span></b></span><br />
<h4>
<span style="font-size: small;"><b><span style="font-family: Arial,Helvetica;">
Citations d'André Gide : </span></b></span></h4>
<span style="font-size: small;"><b><span style="font-family: Arial,Helvetica;">
<span style="color: #990000;">"Les choses les plus belles sont celles que
souffle la folie et qu'écrit la raison. Il faut demeurer entre les deux,
tout près de la folie quand on rêve, tout près de la raison quand on
écrit."</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Journal 1889-1939 / septembre 1894)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"La prière, croyez-moi, n'est souvent pour beaucoup que le besoin, quand on se sent seul, de parler à la seconde personne."</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Prétextes / 1903)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"Le catholicisme est inadmissible. Le protestantisme est intolérable. Et je me sens profondément chrétien."</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Journal 1889-1939 / 10 février 1912)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"La cruauté, c'est le premier des attributs de Dieu."</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Les Faux-Monnayeurs / 1925)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"Je ne puis me satisfaire du <a href="http://atheisme.free.fr/Religion/Definition_n.htm#nihilisme">nihilisme</a>
absolu de Roger Martin du Gard. Je ne m'en écarte pas, ne le repousse
pas, mais prétends passer outre, le traverser. C'est par-delà, que je
veux reconstruire. Il me parait monstrueux que l'homme ait besoin de
l'idée de Dieu pour se sentir d'aplomb sur terre ; qu'il soit forcé de
consentir à des absurdités pour édifier quoi que ce soit de solide ;
qu'il se reconnaisse incapable d'exiger de lui-même ce qu'obtenaient
artificiellement de lui des convictions religieuses, de sorte qu'il
laisse aller tout à néant sitôt qu'on dépeuple son ciel."</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / 1889-1939 / 20 octobre 1927)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"Je suis un incroyant. Je ne serai jamais un impie."</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Journal 1889-1939 / 6 novembre 1927)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"La bonne foi est une vertu essentiellement laïque, qui remplace la foi tout court."</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Journal 1889-1939 / 13 décembre 1927)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"Moins le blanc est intelligent, plus le noir lui parait bête."</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Voyage au Congo / 1927)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"La sagesse commence où finit la crainte de Dieu.
Il n'est pas un progrès de la pensée qui n'ait paru d'abord
attentatoire, impie."</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Journal 1889-1939 / 15 janvier 1929)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"La foi comporte un certain aveuglement où se
complaît l'âme croyante; quand elle échappe aux entraves de la raison,
il lui semble qu'elle bat son plein. Elle n'est que dévergondée."</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Journal 1889-1939 / 7 avril 1929)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"Les persécutions ont toujours eu lieu (ou
presque), jusqu'à présent, au nom d'une religion. Que la libre pensée à
son tour persécute, la religion trouve cela monstrueux. Mais peut-on
vraiment dire qu'il y ait persécution ? J'ai toujours quelque peine à
accepter pour vrai ce qu'on a tout intérêt à nous faire croire."</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Journal 1889-1939 / 1er juillet 1931)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"Ce jeune musulman, élève de Massignon, qui vint
un matin me parler et que j'envoyai à Marcel de Coppet : avec des
larmes, des sanglots dans la voix, il racontait sa conviction profonde :
l'Islam seul était en possession de la vérité qui pouvait apporter la
paix au monde, résoudre les problèmes sociaux, concilier les plus
irréductibles antagonismes des nations... Berdiaeff réserve ce rôle à
l'orthodoxie grecque. De même le catholique ou le juif, chacun à sa
religion propre. C'est au nom de Dieu qu'on se battra. Et comment en
serait-il autrement, du moment que chaque religion prétend au monopole
de la vérité révélée ? Car il ne s'agit plus ici de morale ; mais bien
de révélation. C'est ainsi que les religions, chacune prétendant unir
tous les hommes, les divisent. Chacune prétend être la seule à posséder
la Vérité. La raison est commune à tous les hommes, et s'oppose à la
religion, aux religions."</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Journal 1889-1939 / 14 avril 1933)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"Le Temps d'aujourd'hui publie une longue lettre
signée C. J. Gabel (…) Comment ce correspondant ne se rend-il pas compte
qu'en citant les paroles de Paul : "Que toute personne soit soumise aux
autorités supérieures, car il n'y a point d'autorité qui ne vienne de
Dieu. C'est pourquoi celui qui s'oppose à l'autorité résiste à l'ordre
que Dieu a établi, etc.", comment ne se rend-il pas compte que Hitler ne
parlerait pas autrement ?"</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Journal, 1er septembre 1933)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"Les gens gagnent à être connus. Insister et
développer cette formule riche en enseignements. (…) Le chrétien qui
constaterait que, somme toute, et à se bien examiner, il "gagne à être
connu" - et le "bon Dieu" qui, seul, y perd."</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Journal 26 août 1934)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"C'est un vase informe [le mot Dieu] à parois
indéfiniment extensibles, qui contient ce qu'il plait à chacun d'y
mettre, mais qui ne contient que ce que chacun de nous y a mis."</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Les Nouvelles Nourritures / 1935)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"Il est bien plus difficile qu'on ne croit de ne pas croire à Dieu."</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Les Nouvelles Nourritures / 1935)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"Le christianisme, avant tout, console ; mais il y
a des âmes naturellement heureuses et qui n'ont pas besoin d'être
consolées. Alors, celles-ci, le christianisme commence par les rendre
malheureuses, n'ayant sinon pas d'action sur elles."</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Journal 1889-1939)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"Nombreux sont ceux qui confondent mysticisme et
spiritualité, et qui croient que l'homme ne peut que ramper, si la
religion ne le soulève; qui croient que seule la religion peut empêcher
l'homme de ramper."</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Journal 1889-1939)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"Ce qu'il y a de plus extraordinaire peut-être
dans le besoin de l'extraordinaire, c'est que c'est, de tous les besoins
de l'esprit, celui qu'on a le moins de peine à contenter."</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Journal 1889-1939)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"Croyez ceux qui cherchent la vérité, doutez de ceux qui la trouvent."</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Journal 1889-1939)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"Il est certaine façon d'adorer Dieu qui fait
l'effet d'un blasphème. Il est certaine façon de nier Dieu qui rejoint
l'adoration."</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Journal 1889-1939)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"Les lois et les morales sont essentiellement
éducatrices, et par cela même provisoire. Toute éducation bien entendue
tend à pouvoir se passer d'elles. Toute éducation tend à se nier
d'elle-même. Les lois et les morales sont pour l'état d'enfance :
l'éducation est une émancipation. Une cité, un État parfaitement sage
vivrait, jugerait sans lois, les normes étant dans l'esprit de son
aréopage. L'homme sage vit sans morale, selon sa sagesse. Nous devons
essayer d'arriver à l'immoralité supérieure."</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Journal 1889-1939)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"Il est bon de laisser croire à l'enfant que Dieu
le voit, car il doit agir comme sous le regard de Dieu et faire de cela
sa conscience."</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Journal 1939-1949 / 10 avril 1942)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"Ces idées dont on croit d'abord ne point pouvoir
se passer. D'où grand danger d'installer son confort moral sur des idées
fausses. Contrôlons, vérifions d'abord. Naguère le soleil tournait
autour de la terre ; celle-ci, point fixe, demeurait le centre du monde,
foyer d'attention du bon Dieu... Et puis non ! C'est la terre qui
tourne. Mais alors, tout chavire ! Tout est perdu !... Pourtant rien
n'est changé que la croyance. L'homme doit apprendre à s'en passer. De
l'une, puis de l'autre, il se délivre. Se passer de la Providence :
l'homme est sevré.<br />
Nous n'en sommes pas là. Nous n'en sommes pas encore là. Cet état
d'athéisme complet, il faut beaucoup de vertu pour y atteindre ; plus
encore pour s'y maintenir. Le "croyant" n'y verra sans doute qu'invite à
la licence. S'il en allait ainsi : vive Dieu ! Vive le sacré mensonge
qui préserverait l'humanité de la faillite, du désastre. Mais l'homme ne
peut-il apprendre à exiger de soi, par vertu, ce qu'il croit exigé par
Dieu ? Il faudrait bien pourtant qu'il y parvienne ; que quelques-uns,
du moins, d'abord ; faute de quoi la partie serait perdue. Elle ne sera
gagnée, cette étrange partie que voici que nous jouons sur terre (sans
le vouloir, sans le savoir, et souvent à coeur défendant), que si c'est à
la vertu que l'idée de Dieu, en se retirant, cède la place ; que si
c'est la vertu de l'homme, sa dignité, qui remplace et supplante Dieu.
Dieu n'est plus qu'en vertu de l'homme. Et eritis sicut dei. (C'est
ainsi que je veux comprendre cette vieille parole du Tentateur - lequel,
ainsi que Dieu, n'a d'existence qu'en notre esprit - et voir dans cette
offre, qu'on nous a dite fallacieuse, une possibilité de salut.)"</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Journal 1889-1939 / 1947)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"La Foi soulève des montagnes ; oui : des
montagnes d'absurdités. Je n'oppose pas à la Foi le doute ; mais
l'affirmation : ce qui ne saurait être n'est pas."</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Journal 1926-1950 / 1947)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"Se passer de Dieu... Je veux dire : se passer de
l'idée de Dieu, de la croyance en une Providence attentive, tutélaire et
rémunératrice..., n'y parvient pas qui veut."</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Journal 1939-1949)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"L'athéisme seul peut pacifier le monde aujourd'hui."</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Journal 1939-1949)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"J'admire toutes les formes de la sainteté (encore que certaines me soulèvent le cœur)."</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Ainsi soit-il /1952)<br />
<br />
<span style="color: #990000;">"L'homme est responsable de Dieu."</span><br />
(André Gide / 1869-1951 / Journal)<br />
<br />
<center>
<hr width="25%" />
</center>
<br />
<span style="color: #990000;">"On a beaucoup ri d'un télégramme que Mauriac a
reçu peu de jours après la mort de Gide et ainsi rédigé : "Il n'y a pas
d'enfer. Tu peux te dissiper. Préviens Claudel. Signé André Gide"</span><br />
(Julien Green / 1900-1998 / Journal 28 février 1951)</span></b></span>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/14724381208833766050noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7780991609756351310.post-71364739042891127272014-02-05T06:51:00.001-08:002014-02-05T06:51:36.675-08:00<h1>
Le vieil homme et la mer de Ernest Hemingway</h1>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://image.toutlecine.com/photos/v/i/e/vieil-homme-et-la-mer-1999-05-g.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="http://image.toutlecine.com/photos/v/i/e/vieil-homme-et-la-mer-1999-05-g.jpg" height="237" width="320" /></a></div>
<h1>
</h1>
<div class="main_text">
Ce roman d'Ernest Hemingway a été publié en 1952 sous le titre <em>The Old Man and the Sea</em>. </div>
<div class="main_text">
Ernest Hemingway obtiendra, en 1954, le prix Nobel de littérature.</div>
<h2>
Résumé du roman </h2>
<div class="main_text">
Le roman met en scène deux personnages
principaux : Santiago, un vieux et pauvre pêcheur cubain, et
Manolin, un jeune garçon , qui malgré les événements récents
croit toujours au vieil homme. </div>
<div class="main_text">
Santiago n'a attrapé aucun gros poisson
depuis 84 jours. Les parents de Manolin qui trouvent que Santiago
est malchanceux, interdisent à leur fils d'embarquer avec le
vieil homme et le forcent à aller pêcher sur un autre bateau. En
effet ce dernier ramène trois grosses prises en une semaine! </div>
<div class="main_text">
Laissant son jeune ami Manolin, le seul qui
pourtant croit toujours en lui, le vieil homme décide de partir
en mer, en quête de la prise qui lui vaudra à nouveau l'estime de
ses pairs. </div>
<div class="main_text">
Loin des côtes, sa ligne se tend enfin. La
chance semble tourner. Fort de son expérience, Santiago réalise très
vite qu'il s'agit là d'une prise hors du commun. Quel est donc ce
poisson qu'il n'a pas encore vu ? Toute la nuit, il se laisse
entraîner dans l'espoir de l'épuiser. </div>
<div class="main_text">
Le lendemain matin, le poisson remonte
enfin à la surface. Il s'agit d'un gigantesque espadon, tel
qu'il n'en a jamais vu. Celui-ci, comme pour le provoquer jaillit
devant lui dans toute sa splendeur. Puis il replonge aussitôt
comme s'il n'était venu que pour le défier. </div>
<div class="main_text">
L'espadon est tellement fort qu'il entraîne
la chaloupe du vieil homme loin des côtes et le pêcheur ne peut
qu'attendre et espérer. </div>
<div class="main_text">
La bataille sera longue. Santiago sortira
vainqueur de cette lutte épuisante, mais constatera, hélas à son
retour à terre que les requins ne lui ont laissé que la carcasse
de sa magnifique prise. </div>
<div class="main_text">
Leçon d'humilité devant le fait que l'homme qui a gagné peut aussi tout perdre. </div>
<div class="main_text">
Ce court récit a valeur de symbole. Il
décrit le courage et la dignité d'un vieil homme et sa lutte
acharnée contre le sort, contre son âge, contre son corps, contre
la mort. Il conte le respect du vieux pêcheur pour son
adversaire : </div>
<div class="citation">
« Tu veux ma mort, poisson, pensa le vieux.
C'est ton droit. Camarade, j'ai jamais rien vu de plus grand, ni
de plus noble, ni de plus calme, ni de plus beau que toi. Allez,
vas-y, tue-moi. Ca m'est égal lequel de nous deux tue l'autre ».
</div>
<div class="main_text">
Il évoque aussi l'amitié désintéressée et admirative et la fidélité du jeune garçon pour le vieil homme. </div>
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/14724381208833766050noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7780991609756351310.post-77875780463804122822014-02-05T04:11:00.002-08:002014-02-05T04:11:38.882-08:00Biographie de Victor Hugo (1802-1885)<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://www.mmediene.fr/wp-content/uploads/2007/09/Victor-Hugo.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="http://www.mmediene.fr/wp-content/uploads/2007/09/Victor-Hugo.jpeg" height="320" width="256" /></a></div>
<h1>
<br /></h1>
<h2>
1) Les voyages de jeunesse (1802-1821)</h2>
<table border="0" cellpadding="4" cellspacing="0">
<tbody>
<tr>
<td valign="top" width="60">1802 </td>
<td valign="top">Victor Hugo est né à Besançon le 26 février 1802. Il est le troisième fils de Leopold et Sophie Hugo. </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1809</td>
<td valign="top">Son père qui deviendra général de Napoléon en 1809 entraîne toute la famille sur les routes de France et d'Europe.</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1811</td>
<td valign="top">Sophie Hugo vient rejoindre son mari à
Madrid avec ses trois enfants. Elle y reste un an. Cette année-là,
Victor Hugo est pensionnaire dans une institution religieuse de Madrid,
le collège des Nobles. </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1812</td>
<td valign="top">En mars 1812 ses parents se séparent et
Sophie Hugo retourne vivre dans le quartier du Val de Grâce à
Paris. De retour à Paris, Victor Hugo grandit auprès d'une mère tendre
et assez libérale.</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1816</td>
<td valign="top">Il s'adonne aux lettres et dès 1816, alors
qu'il n'a que quatorze ans, qu'il note : "Je veux être
Chateaubriand ou rien".</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1817</td>
<td valign="top">L'Académie, à l'occasion d'un concours
qu'elle organise, est a deux doigts de lui décerner le prix; mais
le titre du poème de Victor Hugo, Trois lustres à peine, suggérant trop
le très jeune âge du poète, effraye les jurés. Le prix lui échappe.</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1819</td>
<td valign="top">En 1819 il se fiance secrètement, malgré la
jalousie de son frère Eugène et contre l'avis de sa mère, avec
Adèle Foucher, une amie d'enfance.</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1820</td>
<td valign="top">9 mars. Victor Hugo reçoit une pension de 2000 francs du roi Louis XVIII pour son Ode sur la Mort du Duc de Berry</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1821</td>
<td valign="top">Sophie Hugo, la mère de Victor Hugo meurt le
27 juin. Moins d'un mois après, le 20 juillet, son père se remarie
avec Catherine Thomas.</td>
</tr>
</tbody>
</table>
<h2>
2) Du Cénacle à la Gloire (1822-1850)</h2>
<table border="0" cellpadding="4" cellspacing="0">
<tbody>
<tr>
<td valign="top" width="60">1822</td>
<td valign="top">Victor Hugo publie ses premières Odes. Il
épouse, le 12 octobre, Adèle Foucher, à Saint-Sulpice. Son frère
Eugène ne s'en remettra pas. Il sombrera peu à peu dans la schizophrénie
et il sera interné.</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1823</td>
<td valign="top">En juillet, naissance du premier des cinq
enfants qu'auront Victor et Adèle Hugo. Il s'appelle Léopold, comme
son grand-père. Léopold meurt prématurément le 9 octobre. </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1824</td>
<td valign="top">En mars, Victor Hugo publie ses Nouvelles Odes. Un an après la mort de Léopold naît Léopoldine.</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1825</td>
<td valign="top">Victor Hugo est fait chevalier de la Légion d'Honneur.
<br />
Il devient chef de file d'un groupe de jeunes écrivains en créant le Cénacle. </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1826</td>
<td valign="top">Il commence l'écriture de Cromwell, un drame
en vers. Le 2 novembre naît Charles Hugo. Pendant ce même mois il
publie ses Odes et Ballades.</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1827</td>
<td valign="top">Publication de Cromwell en décembre. Dans la
préface, qui est un véritable manifeste, il s'engage en faveur du
romantisme contre le classicisme. C'est le début de son amitié avec
Sainte-Beuve.</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1828</td>
<td valign="top">Mort de son père le 29 janvier. En octobre naissance de François-Victor Hugo.</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1829.</td>
<td valign="top">En janvier et février, publication des
Orientales et du Dernier jour d'un condamné. En Août, sa pièce
Marion De Lorme est censurée.</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1830</td>
<td valign="top">Lors de la première représentation de <a href="http://www.alalettre.com/Hugo-hernani.htm">Hernani</a>,
le 25 février, devant le public de la Comédie-Française, lutte
mémorable entre les partisans du classicisme et les jeunes "crinières"
du romantisme. Ces derniers remportent le succès par leurs
applaudissements. Ils livrent chaque soir ce que l'on a appelé "la
bataille d'Hernani". Victor Hugo devient ainsi le chef de file de
l'école romantique.
<br />
Le 28 juillet, naissance d'Adèle Hugo. Début de l'idylle entre Adèle, l'épouse de Victor Hugo et Sainte-Beuve. </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1831</td>
<td valign="top">Le 15 mars, publication de son premier roman
historique, Notre-Dame de Paris. La Révolution de 1830 permet à sa
pièce, Marion de Lorme, d'être jouée à la Porte Saint-Martin . Elle
remporte un assez grand succès. Le 24 novembre, Victor Hugo publie les
Feuilles d'Automne.</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1832</td>
<td valign="top">Ecriture de la pièce Le Roi s'amuse, et de
Lucrèce Borgia. Le 22 novembre a lieu la première de Le Roi
s'amuse. Lors de cette représentation au Thêatre-Français, c'est le
scandale et la pièce sera interdite. Cette interdiction vaudra à
Hugo de plaider lui-même lors d'un procès mémorable la cause de la
liberté d'expression</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1833</td>
<td valign="top">2 février, première de Lucrèce Borgia; pièce
dans laquelle joue Juliette Drouet. Elle deviendra quelques
semaines après la maîtresse de Victor Hugo et le restera jusqu'à sa
mort.
<br />
Première de Marie Tudor le 6 novembre. Le rôle titre est
interprété par Melle Georges, actrice favorite de Napoléon 1er.</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1834</td>
<td valign="top">Fuite de Juliette Drouet en Bretagne. Victor Hugo la rejoint</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1835</td>
<td valign="top">Ecriture d'Angelo dont la première a lieu le
28 avril. Rupture entre Victor Hugo et Sainte-Beuve. Le 26
octobre, publication des Chants du crépuscule</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1836</td>
<td valign="top">Victor Hugo essuie ses deux premiers échecs à
l'Académie française : le 18 février, elle lui préfère Dupaty et
le 29 décembre, Mignet.</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1837</td>
<td valign="top">Mort de son frère Eugène. Publication des
Voix intérieures. Victor Hugo se rapproche de la famille royale
d'Orléans et est fait Officier de la Légion d'Honneur.</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1838</td>
<td valign="top">Première de <a href="http://www.alalettre.com/Hugo-ruyblas.htm"> Ruy Blas</a>
que Victor Hugo a écrit pour l'inauguration du Théâtre de la
Renaissance. Lassé des querelles du Thêatre-Français, il espère
bien faire du Théâtre de la Renaissance son théâtre privilégié.</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1839</td>
<td valign="top">Voyage avec Juliette Drouet en Alsace, en Suisse et dans le sud-est de la France.</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1840</td>
<td valign="top">Troisième échec à l'Académie Française.
<br />
Il assiste avec Juliette au retour des cendres de Napoléon.</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1841</td>
<td valign="top">A sa quatrième tentative, Victor Hugo est élu à l'Académie Française. La réception a lieu le 3 juin.</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1843</td>
<td valign="top">Sa fille Léopoldine épouse Charles Vacquerie.
<br />
Le 7 mars, première des Burgraves. La pièce qui est un
échec marque la fin du rêve de Victor Hugo d'un théâtre qui soit à
la fois ambitieux et populaire. Cet échec ainsi que les drames
familiaux qui l'affectent, vont éloigner Victor Hugo du théâtre.
<br />
Le 4 septembre, Léopoldine et son époux se noient dans la
Seine, à Villequier. Victor Hugo, alors dans les Pyrénées,
l'apprend le 9 septembre par la lecture d'un journal. Il rentre à Paris
le 12. Période deuil et de désespoir. Il arrête d'écrire pendant
trois ans. </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1845</td>
<td valign="top">Le 13 avril, Louis-Philippe signe le décret nommant Victor Hugo pair de France.
<br />
Liaison passionnée avec Léonie Biard auprès de laquelle il
est surpris le 5 juillet en flagrant délit d'adultère. Scandale
public. Léonie Biard est emprisonnée, tandis que son titre de pair de
France vaut à Hugo d'échapper à la prison. Victor Hugo se fait
oublier et commence à écrire les Misères, qui deviendront Les
Misérables</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1848</td>
<td valign="top">Le 4 juin, Victor Hugo est élu député. Le 20
juin, il prononce son premier discours à l'Assemblée 1er août. Il
soutient la candidature de Louis-Napoléon Bonaparte à la présidence de
la République.</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1849</td>
<td valign="top">En juillet, Victor Hugo fait scandale à
l'Assemblée en prononçant son discours sur la misère. Bien qu'ayant
soutenu sa candidature l'année précédente, Il s'oppose à Louis-Napoléon
qu'il considère comme un tyran. Il fuit en Belgique.</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1850</td>
<td valign="top">Le 15 janvier, discours de Victor Hugo à
l'Assemblée sur la liberté de l'enseignement, le suffrage universel
et la liberté de la presse. </td>
</tr>
</tbody>
</table>
<h2>
3) L'exil (1851-1870)</h2>
<table border="0" cellpadding="4" cellspacing="0">
<tbody>
<tr>
<td valign="top" width="60">1851 </td>
<td valign="top">En juillet, discours de Victor Hugo à
l'Assemblée contre les projets de Louis Bonaparte. Fin juillet, Charles
Hugo est écroué à la Conciergerie, en novembre, c'est le tour de
François-Victor. Violemment opposé au coup d'État du 2 décembre
1851, il tente, en vain, d'organiser la résistance. Le 11 décembre
au soir, muni d'un faux passeport, il prend le train pour
Bruxelles. Son exil durera jusqu'à la chute de Napoléon III (1870). </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1852 </td>
<td valign="top">Début janvier, Louis-Napoléon Bonaparte
signe le décret d'expulsion qui frappe Victor Hugo. Celui-ci lui
répond en publiant en Août Napoléon le Petit. Le 5 août, Hugo arrive à
Jersey et s'y installe. </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1853 </td>
<td valign="top">Il publie <a href="http://www.alalettre.com/Hugo-chatiments.htm">les Châtiments</a>. Les 98 poèmes des Châtiments décrivent sa colère et son indignation suite au coup d'état de Louis-Napoléon Bonaparte.</td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1855 </td>
<td valign="top">En octobre, les autorités de Jersey
expulsent Victor Hugo. Il quitte Jersey pour Guernesey, une île plus
petite et plus sauvage que Jersey.
Pendant quinze ans, Hugo restera en exil, écrivant des
satires contre celui qu'il appelle "Napoléon le petit". Mais c'est
aussi l'époque où il produit ses plus grandes oeuvres : <a href="http://www.alalettre.com/Hugo-contemplations.htm">Les contemplations</a>, La légende des siècles et <a href="http://www.alalettre.com/Hugo-miserables.htm">Les misérables</a>. </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1856 </td>
<td valign="top">En avril, publication <a href="http://www.alalettre.com/Hugo-contemplations.htm">des Comtemplations</a>.
Avec ses droits d'auteur, il achète Hauteville-House, une grande
maison qui donne sur la mer . En décembre, Adèle, sa fille, qui
supporte difficilement cet exil tombe gravement malade. </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1858 </td>
<td valign="top">Fin juin Victor Hugo tombe gravement malade.
Pendant plus d'un mois il doit garder la chambre. Il ne sort, très
affaibli, pour la première fois que le 4 août </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1859 </td>
<td valign="top">En Août Napoléon III accorde l'amnistie aux
proscrits républicains. Victor Hugo se refuse pourtant à regagner
la France. Il publie en septembre la Légende des siècles. </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1861 </td>
<td valign="top">En mars, pour la première fois, il quitte
Guernesey pour se rendre en Belgique. Il termine Les Misérables. En
septembre il regagne Guernesey sans son fils Charles qui préfère rester
sur le continent. </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1862 </td>
<td valign="top">En avril paraît la première partie des
Misérables paraît à Paris. Les deuxièmes et troisièmes parties
paraîtront en juin. </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1864 </td>
<td valign="top">Publication de William Shakespeare. </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1865 </td>
<td valign="top">En janvier, mort de la fiancée de
François-Victor. Sa mère et lui quittent Guernesey pour s'installer à
Bruxelles. Mi-octobre, Victor Hugo assiste, à Bruxelles, au mariage
de son fils Charles. Le 25 octobre a lieu le lancement des Chansons
des rues et des bois. Le 30, il rentre à Guernesey. </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1866 </td>
<td valign="top">En mars, publication des Travailleurs de la mer, Mille francs de récompense, et l'Intervention . </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1867 </td>
<td valign="top">Le 31 mars, naissance de Georges Hugo à Bruxelles : Victor Hugo est grand-père pour la première fois. </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1868 </td>
<td valign="top">Mort de Georges, son petit fils, en mars. En août, mort d'Adèle Hugo, son épouse. </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1869 </td>
<td valign="top">En avril et en mai, publication des quatre tomes de l'Homme qui rit. </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1870 </td>
<td valign="top">Reprise, à Paris, en février, de Lucrèce Borgia.
Le 4 septembre, proclamation de la République. Le 5 septembre, Victor Hugo est accueilli triomphalement à Paris. </td>
</tr>
</tbody>
</table>
<h2>
4) le retour triomphant (1871-1885)</h2>
<table border="0" cellpadding="4" cellspacing="0">
<tbody>
<tr>
<td valign="top" width="60">1871 </td>
<td valign="top">Tête de liste des républicains à Paris,
Victor Hugo est élu député .En février il part avec sa famille pour
Bordeaux, où va siéger l'Assemblée Nationale. Le 8 mars, il donne sa
démission.
<br />
13 mars : mort subite, à Bordeaux, de Charles Hugo. </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1872 </td>
<td valign="top">En janvier, Victor Hugo est de nouveau battu
aux élections. En février, sa fille Adèle, est internée à
Saint-Mandé où elle mourra en 1915.
<br />
En août, Victor Hugo repart à Guernesey. Il y commence Quatre-Vingt-Treize. </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1873 </td>
<td valign="top">En décembre : mort de son second fils François-Victor. </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1874 </td>
<td valign="top">Publication de Quatre-Vingt-Treize et de Mes Fils. </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1875 </td>
<td valign="top">En juin, publication du premier volume
d'Actes et Paroles (Avant l'exil). En novembre, publication du second
volume d'Actes et Paroles (Pendant l'exil). </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1876 </td>
<td valign="top">En janvier, il est élu sénateur de Paris. Le
22 mai, il intervient au Sénat en faveur de l'amnistie des
communards. En juillet, publication du troisième volume d'Actes et
Paroles (Depuis l'exil). </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1877 </td>
<td valign="top">En février publication de la deuxième série
de la Légende des Siècles et en mai de l'Art d'être grand-père. Le
10 octobre, publication de la première partie de l'Histoire d'un crime. </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1878 </td>
<td valign="top">En mars, publication de la deuxième partie
de l'Histoire d'un crime et en avril, du Pape. Fin juin, Victor
Hugo est victime d'une congestion cérébrale. Le 4 juillet, il part pour
Guernesey et le 13 octobre, il fait une rechute. Le 9 novembre, il
rentre à Paris et s'installe avenue d'Eylau, sa dernière demeure.
Il va pratiquement cesser d'écrire </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1879 </td>
<td valign="top">En février, publication de la Pitié Suprême. Le 28 février, nouvelle intervention, au Sénat, en faveur de l'amnistie. </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1880 </td>
<td valign="top">Publication de Religions et religion (écrit en 1870). </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1881 </td>
<td valign="top">27 février. Un Immense hommage est rendu à
Victor Hugo, le jour de son quatre-vingtième anniversaire. Six cent
mille personnes, écoliers, ouvriers, parisiens de tous horizons
défilent toute la journée sous ses fenêtres et laissent une avenue
d'Eylau couverte de fleurs. L'avenue sera rebaptisée cette année-
là, Avenue Victor Hugo </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1883 </td>
<td valign="top">Le 11 mai, mort de Juliette Drouet. En juin, publication du troisième Tome de la Légende des Siècles. </td>
</tr>
<tr>
<td valign="top">1885 </td>
<td valign="top">Le vendredi 15 mai, il est victime d'une
congestion pulmonaire. Il meurt le vendredi 22 mai. Le gouvernement
décide de funérailles nationales. Le 1er juin, une foule immense lui
rend hommage en criant "Vive Victor Hugo" </td></tr>
</tbody></table>
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/14724381208833766050noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7780991609756351310.post-63148463228210517842014-01-25T01:13:00.004-08:002014-01-25T01:13:53.414-08:00les bibliotheques <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://www.funeraire-info.fr/wp-content/uploads/2013/12/bibliotheque2.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="http://www.funeraire-info.fr/wp-content/uploads/2013/12/bibliotheque2.jpg" height="213" width="320" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://www.domainedechantilly.com/sites/default/files/Reliures%20du%20Cabinet%20des%20Livres%20(12)%20(c)%20Biblioth%C3%A8que%20et%20archives%20du%20ch%C3%A2teau%20de%20Chantilly.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="http://www.domainedechantilly.com/sites/default/files/Reliures%20du%20Cabinet%20des%20Livres%20(12)%20(c)%20Biblioth%C3%A8que%20et%20archives%20du%20ch%C3%A2teau%20de%20Chantilly.jpeg" height="180" width="320" /></a></div>
<br /><br />Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/14724381208833766050noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-7780991609756351310.post-8470003689640980502014-01-19T02:34:00.001-08:002014-01-19T02:34:11.020-08:00une bonne année de lectures <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiMW2JM61DIGToYIf4MJndX0jUDLpSiY343K4Os3Zaf9VUEhKDbPlbIVLS3HM19QgBGJfrWR3GBVES1u_lvTtDijXcL8-YqnDFqT-oAtICfhcODQi8IykL-hcyfHgRHSr1n9RCAWqqafps/s1600/IMG_0743.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiMW2JM61DIGToYIf4MJndX0jUDLpSiY343K4Os3Zaf9VUEhKDbPlbIVLS3HM19QgBGJfrWR3GBVES1u_lvTtDijXcL8-YqnDFqT-oAtICfhcODQi8IykL-hcyfHgRHSr1n9RCAWqqafps/s1600/IMG_0743.JPG" height="240" width="320" /></a></div>
<span style="font-size: large;"><b>je vous souhaite une bonne année un peu en retard mais on est toujours en janvier le premier mois ou on a envie de tout recommencer a zéro , et parfois on oublie le principal , c'est a dire sois même , et c'est en lisant que je me retrouve car je m’évade , je voyages et je me dédouble pour vivre a chaque fois une aventure nouvelle , je vais essayer durant toute l'année de poursuivre mon rêve qui est de vivre mes lectures a travers ce blog ! Violettine </b></span>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/14724381208833766050noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7780991609756351310.post-35791330621609154722014-01-02T09:10:00.002-08:002014-01-02T09:10:58.899-08:00le courage« Bon courage ! C'est
l'expression de soutient que l'on reçoit avant une décision importante à
prendre, un travail difficile à entreprendre, un obstacle ou une
période difficile à passée .... Le courage est une force, qui s'acquiert
certainement lorsqu'on affronte des choses qui nous heurtent et que
nous cherchons à dépasser; lors de combats, qu'ils soient pour une cause
politique, humaine, personnelle. Etre une personne courageuse, c'est
peut-être d'oser renoncer à la facilité, d'oser prendre position,
prendre des risques pour soi-même, se battre pour faire respecter sa vie
et celle des autres humains. <br />
Faire preuve de courage dans la société d'hier et d'aujourd'hui, c'est
sans doute prendre la défense de ceux qui n'en ont pas les moyens
eux-mêmes ou qui en sont empêchés par manque de liberté; qui sont
victimes de pauvretés multiples ou oppressés par le poids d'injustices
politiques ou sociales. C'est aussi pour certains de reconnaître que les
choses ne sont pas toujours justes et faciles mais qu'en se mobilisant
avec d'autres et en acceptant de "prendre son courage à deux mains", on
se sent moins vulnérables. <br />
Quand je cherche quelles sont les personnes qui incarnent le courage, je
pense à celles, qui, dans l'horreur de certaines guerres, trouvent la
force, les ressources presque viscérales de garder une certaine
confiance ou au moins, de ne pas glisser vers la haine ou l'indifférence
des autres (que ce soit pendant l'occupation nazie ou bien les guerres
ethniques en Afrique, ou religieuses en Asie ...) il y a toujours le
témoignage de ces personnes inconnues qui ont fait preuve de courage ou
bien qui ont été accompagnées par la grâce, ou peut-être les deux... » <strong>Claire. </strong><br />
<br />
« Dans le langage courant on entend souvent : « je n’ai pas le courage »
, « je suis découragée ». Aujourd’hui même chez une de mes patientes : «
il faut que je prenne mon courage à deux mains ». Encourager c’est
stimuler l’envie de vivre, de faire, d’aller de l’avant, d’assumer ses
responsabilités, d’oser……. Encourager, c’est redonner le goût de vivre.
Se décourager c’est perdre l’espoir d’un mieux, du meilleur. Dans le
dictionnaire, l’étymologie du mot Courage vient de cœur : avoir du cœur à
l’ouvrage. Le courage n’est pas inné, mais le sujet se forme et se
transforme grâce à l’éducation qui apprend le sens de l’effort. Le
courage est un trait de caractère : on ne devient pas courageux du jour
au lendemain.
C’est un apprentissage qui combine l’exemple donné par les
adultes pour l’enfant et les exigences que l’on manifeste vis-à-vis de
lui, associés à son libre arbitre. Le courage est la qualité de la
personne que l’entourage considère comme « forte ». <strong>Edith, psychanalyste. </strong><br />
<br />
« Etre courageux s'est se fixer un but et y travailler sans relâche. Le
courage fait alliance avec une énergie ancestrale qui sublime la
personne qui la transcende, bien au-delà du danger. Une personne
courageuse est donc celle qui vit son idéal et le défend. Une personne
courageuse est également une personne qui ne sombre pas dans le
désespoir. » <strong>Marie-Hélène.</strong> <br />
<br />
« Le courage est d'abord une haute vertu. Elle s'oppose évidemment à la
lâcheté et son corollaire, pusillanimité, faiblesse de caractère et ses
variantes, pleutrerie... S'apprend-il ? Sans doute. En sachant démasquer
la lâcheté en soi et chez les autres. Excellent exercice qui renvoie à
soi-même. Pour parler de façon plus personnelle, en affrontant les
difficultés qui nous touchent de près quotidiennement, avec sa femme,
ses enfants, son milieu de travail. Je veux dire savoir regarder le
vérité en face, en accepter le lien avec nous. Accepter de se sentir
responsable et par conséquent agir pour modifier le cours des
événements. » <strong>Pierre, enseignant.</strong><br />
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/14724381208833766050noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-7780991609756351310.post-68034872681863197002013-12-18T02:29:00.001-08:002013-12-18T02:29:45.387-08:00Honoré de Balzac et la Comédie Humaine
<br />
<table border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" class="af_edito_contenu" style="cursor: auto; width: 686px;"><tbody>
<tr><td class="af_diapo_contenu_header" colspan="2" style="cursor: auto;"><b><br /></b></td></tr>
<tr><td colspan="2"><b><br /></b></td></tr>
<tr><td style="padding: 13px 0 7px 7px;" valign="top" width="372"><b><br /></b></td><td style="cursor: auto; padding: 10px;" valign="top"><br /></td></tr>
<tr><td colspan="2" style="cursor: auto; padding: 7px;"><div id="header">
<h1>
Honoré de Balzac et la Comédie Humaine </h1>
<nav>
<ul>
<li> <b><a href="http://hbalzac.free.fr/index.php">accueil</a></b></li>
<li> <b><a href="http://hbalzac.free.fr/comedie.php">le projet</a></b></li>
<li> <b><a href="http://hbalzac.free.fr/parcours.php">les parcours</a></b></li>
<li> <b><a href="http://hbalzac.free.fr/themes.php">les thèmes</a></b></li>
<li> <b><a href="http://hbalzac.free.fr/temps.php">le temps</a></b></li>
<li> <b><a href="http://hbalzac.free.fr/personnages.php">les personnages</a></b></li>
<li> <b><a href="http://hbalzac.free.fr/lieux.php">les lieux</a></b></li>
</ul>
</nav></div>
<b><img src="http://hbalzac.free.fr/balzac.jpg" /></b>
<strong> Écrivain français né à Tours en 1799, décédé à Paris en 1850, Balzac
(qui ajoutera une particule à son nom en 1831) est issu de la petite
bourgeoisie provinciale. Sa mère l'envoie à l'âge de huit ans chez les
oratoriens de Vendôme, où il reste pensionnaire pendant six ans et
semble
préférer la lecture à des études qu'il achèvera cependant à Paris
(1814-1816).
Destiné à une carrière juridique mais passionné par la lecture de
romans, il arrive à convaincre sa famille de le laisser s'essayer à
l'écriture. Après avoir lu la première tragédie en vers de Balzac,
Cromwell amènera un critique ami de la famille à déconseiller la
carrière littéraire au jeune homme.
</strong><br />
<b><a href="http://www.lulu.com/content/2356751"><img alt="Dictionnaire de la Comédie Humaine" border="0" id="imgdroite" src="http://hbalzac.free.fr/dicolulu.png" width="80" /></a></b>
<b> Ne se décourageant pas, il
continue à écrire diverses œuvres sous divers pseudonymes. Ces
dernières ne lui rapporteront pas grand chose au niveau pécuniaire,
mais vont contribuer à sa formation littéraire.
En 1825, il achète une imprimerie mais fait rapidement faillite et,
couvert de dettes, se tourne de nouveau vers le roman.
Dès ses premiers succès, il est introduit dans les salons
aristocratiques et littéraires notamment dans celui de Mme Récamier. C'est
le début d'une vie riche en épisodes amoureux, où voyages et dépenses
fastueuses riment avec les créanciers.
Il est obligé de travailler comme un forcené et d'entreprendre des aventures
financières ruineuses comme, par exemple, la remise en exploitation, en
Sardaigne, d'antiques mines d'argent.
</b><br />
<b>
Grand précurseur, membre de la Société des gens de lettres dès sa création
(1838), il contribue à instaurer la protection du droit d'auteur. Il donne
naissance aussi au roman-feuilleton, dont <a href="http://hbalzac.free.fr/oeuvre.php?identificateur=2003014.0">La Vieille Fille</a> (1837) constitue
le premier exemple paru dans les journaux.
Doué d'une puissance de travail peu commune, Balzac usera cependant peu à peu
sa santé et son énergie et mourra à cinquante et un ans, quelques mois
seulement après avoir épousé Mme Hanska, une comtesse polonaise avec qui il
entretint pendant seize ans une correspondance admirable (Lettres à Mme Hanska,
1832-1848, publiées en 1968).
</b></td></tr>
<tr><td colspan="2" style="cursor: auto; padding-top: 10px;"><br /></td></tr>
<tr><td align="right" class="af_edito_mini_txt" colspan="2" style="cursor: auto;"><br /></td></tr>
</tbody></table>
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/14724381208833766050noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7780991609756351310.post-23283452266843494842013-12-10T11:59:00.003-08:002013-12-10T11:59:26.856-08:00les lueurs du sud
<br />
<nav class="overthrow fig-navbar fig-has-login" role="navigation"><div class="fig-container fig-dropdown" id="fig-login">
<div class="fig-user fig-user-unconnected">
<b><br /></b></div>
</div>
</nav><div class="clearfix" id="page">
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<div id="content">
<div id="content-area" itemprop="mainContentOfPage">
<article class="node node clearfix node-type-article_court col1 node-photo-verticale " id="node-150713" itemscope="" itemtype="http://schema.org/Article"><div class="block-haut">
<header><h1 class="title" itemprop="name">
Les lueurs du sud</h1>
<h2 class="title-seo">
Découvrez le dernier livre de Danielle Steel</h2>
<b><br /></b></header>
</div>
<div class="content">
<div class="bloc">
<figure>
<div class="diapo-photo">
<b><img alt="Les lueurs du sud" class="imagecache imagecache-photo_verticale_grande imagecache-default imagecache-photo_verticale_grande_default" height="458" src="http://madame.lefigaro.fr/sites/default/files/imagecache/photo_verticale_grande/2011/05/danielle-steel-2.jpg" title="Les lueurs du sud" width="324" /> </b>
</div>
<figcaption class="diapo-legende"> </figcaption>
</figure>
</div>
<div itemprop="articleBody">
<div class="field-field-body1">
<strong>Danielle Steel<br />Près
de 80 best-sellers publiés en France, plus de 560 millions
d’exemplaires vendus à travers 47 pays : Danielle Steel est la
romancière contemporaine la plus lue au monde. Un véritable phénomène
d’édition.<br /><br />Le livre :<br />Pour protéger sa fille,
une femme va devoir se réconcilier avec son passé… Adjointe du
procureur de la ville de New York, Alexa Hamilton partage son temps
entre son travail et sa fille Savannah, une ravissante adolescente de
dix-sept ans. Tandis qu’elle engage des poursuites contre un tueur en
série, sa fille reçoit d’inquiétantes lettres anonymes. Persuadée que le
criminel en est l’instigateur, Alexa se retrouve face à un dilemme :
doit-elle abandonner le dossier ou éloigner Savannah pour assurer sa
sécurité ? A contrecœur, elle choisit de l’envoyer chez son père, à
Charleston, la ville où elle s’était juré de ne plus jamais retourner
après leur douloureuse rupture. Séparée de sa fille pendant quelques
mois, Alexa devra mener à bien l’un des procès les plus retentissants du
pays, tout en se confrontant aux fantômes de son passé.</strong></div>
</div>
</div>
</article></div>
</div>
</div>
</div>
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/14724381208833766050noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7780991609756351310.post-75817747738062190382013-12-08T02:18:00.001-08:002013-12-08T02:18:03.592-08:00<span class="quote_message_notif_content"> L'absence est une valse noire et personne avec qui danser</span><br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNnnpmSM6Z243o9t3n563LCil2TOTmZPbojK6gAYZTD5L7Fiu-aPz_E_eUVu_J0HLTTC42Fs6awVKbnsMxoJi8iv0MVq1UdeTnSajUCuMbWtFdNRblkVopbofhlhQD0VQwi_J1l1sFQpA/s1600/absence.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="180" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNnnpmSM6Z243o9t3n563LCil2TOTmZPbojK6gAYZTD5L7Fiu-aPz_E_eUVu_J0HLTTC42Fs6awVKbnsMxoJi8iv0MVq1UdeTnSajUCuMbWtFdNRblkVopbofhlhQD0VQwi_J1l1sFQpA/s320/absence.jpg" width="320" /></a></div>
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/14724381208833766050noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7780991609756351310.post-42277625623897702262013-11-30T10:30:00.002-08:002013-11-30T10:30:23.363-08:00jules verne analyses litteraires<b><span style="color: blue;"><span class="Style39"><a href="http://perso.wanadoo.fr/jules-verne/CIEH4.htm" target="_blank"><span class="Style32">1)</span></a><a href="http://perso.wanadoo.fr/jules-verne/CIEH4.htm" target="_blank"> Jules Verne : pourquoi et comment...? la publication de mes essais</a></span></span></b>
<br />
<div align="justify" class="Style39">
<b><span style="color: blue;"><span><a href="http://jules-verne.pagesperso-orange.fr/plan.htm" target="_blank"><span class="Style32">2) </span></a></span><span><a href="http://jules-verne.pagesperso-orange.fr/plan.htm" target="_blank">Les analyses des romans / Plan du site / Me Contacter</a></span></span></b></div>
<b><span style="color: blue;">
</span></b><div align="justify" class="Style39">
<b><span style="color: blue;"><span><a href="http://perso.wanadoo.fr/jules-verne/CIEH6.htm" target="_blank"><span class="Style32">3)</span></a></span><span><a href="http://perso.wanadoo.fr/jules-verne/CIEH6.htm" target="_blank"> Espace et Temps chez Jules Verne / Volet pédagogique : exploitation de l'œuvre en classe</a></span></span></b></div>
<b><span style="color: blue;">
</span></b><div align="justify" class="Style39">
<b><span style="color: blue;"><span><a href="http://perso.wanadoo.fr/jules-verne/CIEH5.htm" target="_blank"><span class="Style32">4) </span></a></span><span><a href="http://perso.wanadoo.fr/jules-verne/CIEH5.htm" target="_blank">Sur les traces des romans de Jules Verne / Quelques liens</a></span></span></b></div>
<b><span style="color: blue;">
</span></b><div align="justify" class="Style39">
<b><span style="color: blue;"><span><a href="http://jules-verne.pagesperso-orange.fr/Eldorado/index.htm" target="_blank"><span class="Style32">5)</span></a></span><span><a href="http://jules-verne.pagesperso-orange.fr/Eldorado/index.htm" target="_blank"> Mon Doctorat en Géographie sur Jules Verne et son œuvre</a></span></span></b></div>
<b><span style="color: blue;">
</span></b><div align="justify" class="Style39">
<b><span style="color: blue;"><span><a href="http://jules-verne.pagesperso-orange.fr/blog.htm" target="_blank"><span class="Style32">6) </span></a></span><span><a href="http://jules-verne.pagesperso-orange.fr/blog.htm" target="_blank">Venez découvrir également mon blog !</a></span></span></b></div>
<b><span style="color: blue;">
</span></b><div align="justify" class="Style39">
<b><span style="color: blue;"><span><a href="http://jules-verne.pagesperso-orange.fr/CV1.htm" target="_blank"><span class="Style32">7) </span></a></span><span><a href="http://jules-verne.pagesperso-orange.fr/CV1.htm" target="_blank">Vous souhaitez mettre en place un projet sur Jules Verne ?</a></span></span></b></div>
<b><span style="color: blue;">
</span></b><div align="justify" class="Style39">
<b><span style="color: blue;"><span><a href="http://jules-verne.pagesperso-orange.fr/CV1.htm" target="_blank"><span class="Style32">8) </span></a></span><span><a href="http://jules-verne.pagesperso-orange.fr/CV1.htm" target="_blank">Mon CV / Mes autres travaux universitaires</a></span></span></b></div>
<b><span style="color: blue;">
</span></b><div align="justify" class="Style39">
<b><span style="color: blue;"><span><a href="http://jules-verne.pagesperso-orange.fr/CIEH4.htm" target="_blank"><span class="Style32">9) </span></a></span><span><a href="http://jules-verne.pagesperso-orange.fr/CIEH4.htm" target="_blank">Pour acquérir mes différents ouvrages sur Jules Verne</a></span></span></b></div>
<b><span style="color: blue;">
</span></b><div align="justify" class="Style39">
<b><span style="color: blue;"><a href="http://jules-verne.pagesperso-orange.fr/Lionel_Dupuy/index.htm" target="_blank"><span class="Style32">10) </span></a><a href="http://jules-verne.pagesperso-orange.fr/Lionel_Dupuy/index.htm" target="_blank">Qui suis-je ? Pourquoi ces recherches sur Jules Verne... ?</a></span></b></div>
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/14724381208833766050noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7780991609756351310.post-73374338829440809212013-11-26T11:45:00.000-08:002013-11-26T11:53:21.190-08:00Novembre, un mois avant noël <div style="text-align: justify;">
<ul>
<li><br /></li>
</ul>
</div>
<br />
<h1 style="color: #e1771e; font-size: 27px;">
Novembre, un mois avant noël </h1>
<div class="certi" style="color: #1171d1; font-size: 12px; font-weight: bold; text-align: center;">
</div>
<br />
<div style="float: left; padding-bottom: 1em; padding-left: 0em; padding: 0em;">
<ins style="background-color: transparent; border: none; display: inline-table; height: 280px; margin: 0; padding: 0; position: relative; visibility: visible; width: 420px;"><br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiVrLs3wNl4d7jzy3kIWCRAc1eERdteDZZO-uGExOAsiMOE4SHV8KCFr3RbXkjpy7mFViLZgWwHCFgKMzbzd-r9JyMNu7C5NYcegqC3wFgo5kdXnUXNtVTBn0euVLr-5POy68Ug90SHwC8/s1600/joyeux+noel.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="211" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiVrLs3wNl4d7jzy3kIWCRAc1eERdteDZZO-uGExOAsiMOE4SHV8KCFr3RbXkjpy7mFViLZgWwHCFgKMzbzd-r9JyMNu7C5NYcegqC3wFgo5kdXnUXNtVTBn0euVLr-5POy68Ug90SHwC8/s320/joyeux+noel.jpg" width="320" /></a></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj0oootXQlazaxXxeJ26u5gAd2q1YCJ6BUwmOT8hjOk6TOMVaU09CsTI2BOeSLBJkKL_IT9GdWZymT7tKzfvM61GGJK0PZJVahEgyP1t8mOnsrT5IPlJ7yLNb7vJ17k_n5G6G2fnFLmSyo/s1600/sapin.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="251" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj0oootXQlazaxXxeJ26u5gAd2q1YCJ6BUwmOT8hjOk6TOMVaU09CsTI2BOeSLBJkKL_IT9GdWZymT7tKzfvM61GGJK0PZJVahEgyP1t8mOnsrT5IPlJ7yLNb7vJ17k_n5G6G2fnFLmSyo/s320/sapin.jpg" width="320" /></a></div>
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9z49DLpfQyKBrLtX8wQTw3JzlivbsgxOnWJ5tR9sRVNnGyZLvVLr9qcTPF6GFPQEP0USH5Awk3iph-VGRHI5PTlB0ODpb5MDAh8mJ5gC5srQjCDEMQrj3u2h8dxJpVueiL0mM0QrNCXc/s1600/creche.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="235" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg9z49DLpfQyKBrLtX8wQTw3JzlivbsgxOnWJ5tR9sRVNnGyZLvVLr9qcTPF6GFPQEP0USH5Awk3iph-VGRHI5PTlB0ODpb5MDAh8mJ5gC5srQjCDEMQrj3u2h8dxJpVueiL0mM0QrNCXc/s320/creche.jpg" width="320" /></a></div>
<ins id="aswift_0_anchor" style="background-color: transparent; border: none; display: block; height: 280px; margin: 0; padding: 0; position: relative; visibility: visible; width: 420px;"> </ins><ins id="aswift_0_anchor" style="background-color: transparent; border: none; display: block; height: 280px; margin: 0; padding: 0; position: relative; visibility: visible; width: 420px;"> </ins></ins></div>
<div style="float: left; padding: 0em 0em 1em; text-align: justify;">
<ins style="background-color: transparent; border: none; display: inline-table; height: 280px; margin: 0; padding: 0; position: relative; visibility: visible; width: 370px;"><ins id="aswift_1_anchor" style="background-color: transparent; border: none; display: block; height: 280px; margin: 0; padding: 0; position: relative; visibility: visible; width: 370px;"></ins></ins></div>
<div style="text-align: justify;">
<br />
Novembre et ses frimas, novembre
le mois trop long qui précède le joyeux et rondouillard mois de
décembre à l'image de son père noël et de ses festivités tant attendues.
<br />
<br />
Novembre, le mois où il faut patienter, mais où timidement les premières
vitrines se parent d'atours dorés pour mieux tenter le chaland.
Pourquoi ne pas tromper son impatience en s'évadant de la grisaille
métropolitaine pour filer à la réunion ou en guadeloupe et s'étirer sur
les plages de sable blanc en oubliant que c'est novembre. Ou bien encore
aller au festival de novembre organisé par le centre chorégraphique
national de tours avec sa programmation atypique et ses artistes
imaginatifs.<br />
Pauvre mois novembre, bien engoncé entre halloween et noël, avec pour
seule fête la toussaint loin d'être aussi conviviale que ses rivales,
même si elle tient plus à coeur que sa cousine d'outre atlantique.
Novembre ou les feuilles ont définitivement quitté les arbres les
laissant à nu ne cachant plus l'arrivée de l'hiver et l'automne déjà
bien avancé.<br />
<br />
Le mois des feux de bois, réchauffant les êtres blottis près des
cheminées avec des tasses fumantes de liquides reconstituants après de
grandes promenades en ville ou en forêts. Une annonce frémissante et si
la neige était là cette année la sens-tu mois de novembre,
viendra-t-elle avec ton grand frère décembre? Un vrai hiver enfin,
débuté avec toi, car peu importent les dates le froid lui n'attend pas,
il est à nos portes.<br />
<br />
Au revoir novembre à l'année prochaine. </div>
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/14724381208833766050noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7780991609756351310.post-64717641622178158832013-11-24T05:12:00.000-08:002013-11-24T05:12:02.467-08:00jean d'Ormesson<h2>
Biographie et informations</h2>
Nationalité : France <br />
Né(e) à : Paris VIIe , le <span itemprop="birthDate"> 16/06/1925</span> <br />
<br />
Biographie : <br /><br /> Né d'un père ambassadeur du Front populaire et
ami de Léon Blum, Jean d'Ormesson se voit dispenser une éducation
privilégiée, dans le respect des valeurs traditionnelles. Evoluant dans
un cadre libéral, il entame un parcours sans entrave. Elève brillant, il
accumule très vite les diplômes : agrégé et diplômé d'études
supérieures de philosophie, normalien... Cet érudit ne s'arrêtera pas
là. Jean Lefèvre, comte d'Ormesson, embrasse une carrière de haut
fonctionnaire devenant président du Conseil international de la
philosophie et des sciences humaines à l'Unesco. Il s'essaie également à
l'écriture : 'L' Amour est un plaisir', 'Du côté de chez Jean'. Ses
œuvres dénotent insouciance et joie de vivre. Mais c'est en 1971 que
débute réellement sa carrière littéraire, avec la parution de 'La Gloire
de l'Empire', Grand prix du roman de l'Académie française. Académicien,
il ne néglige pas pour autant son statut de directeur au journal Le
Figaro. Aspirant à un monde 'traditionnellement moderne', il insuffle à
ses écrits un peu de lui et ce n'est pas pour déplaire ! Mais, il ne
fait pas que parler de lui-même et transmet à la nouvelle génération des
réflexions philosophiques comme 'Le Rapport Gabriel' ou encore 'Presque
rien sur presque tout'. En 2003, 'C' était bien' raconte la vie de
l'auteur et anticipe même sa mort. Avec 'Une fête en larme' en 2005, il
tente l'originalité et, toujours en se mettant en scène, il se met à
raconter son roman idéal à un journaliste. Enfin en 2006, il se laisse
aller et publie 'La Création du monde', roman d'un nouveau genre pour
lui et très attendu par la critique littéraire. En 2007 paraît son
nouveau roman 'Odeur du temps' aux éditions Héloïse d'Ormesson, maison
dirigée par sa fille. En 2009, il publie coup sur coup deux ouvrages,
'L' Enfant qui attendait un train', un album jeunesse, et 'Saveur du
temps', le deuxième tome de ses chroniques au Figaro.Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/14724381208833766050noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7780991609756351310.post-29607757498381703282013-11-20T12:04:00.001-08:002013-11-20T12:04:26.248-08:00Jules verne
<br />
<div class="txt">
<h1 class="main">
Jules Verne </h1>
<h4 class="de">
Ecrivain français </h4>
<b>
</b><div class="evene-fav" style="width: 480px;">
<div class="tooltip-info">
<h4>
« Jules Verne »</h4>
<br /></div>
</div>
</div>
<div class="ui-block">
<ul class="ui-content">
<li><b>Genre : Littérature jeunesse</b></li>
<li><b>date de naissance :<br />8 Février 1828</b></li>
<li class="last"><b>date de décès :<br />24 Mars 1905</b></li>
</ul>
</div>
<b>
</b><div class="txt">
<b>Ce que j'ai écrit sera réalisé à la fin du siècle</b></div>
<b>
</b><h4>
Biographie Jules Verne</h4>
<b>
</b><b>Après avoir obtenu ses baccalauréats en lettres et en
droit, Jules Verne poursuit ses études de droit à Paris. Il se consacre
alors au théâtre, grâce aux Dumas, père et fils, et occupe le poste de
secrétaire du théâtre lyrique jusqu'en 1854 où il fait représenter des
pièces écrites en collaboration avec Michel Carré. Pour faire face à de
nouvelles responsabilités familiales, il devient agent de change. Jules
Verne rencontre alors Pierre-Jules Hetzel, un éditeur, et lui propose un
manuscrit 'Voyage en l'air' qui deviendra 'Cinq semaines en ballon',
marquant le début d'une longue collaboration. Ses romans sont regroupés,
à partir de 1866, dans une collection illustrée qui porte le titre
général de 'Voyages extraordinaires dans les mondes connus et inconnus'.
'Le Tour du monde en 80 jours' est publié en feuilletons en 1872 et
devient le plus grand succès de l'auteur. Les œuvres de Jules Verne
sont traduites dans toutes les langues, une véritable consécration.</b>Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/14724381208833766050noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7780991609756351310.post-32697732486912916412013-11-18T02:36:00.003-08:002013-11-18T02:41:30.773-08:00Québec<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgD3G2rBh5NKU_vMoPXOaDxyUvjRmf6jVSGIVw4a41EO0qD3Otx1VN7-2ioM_ul_75KtKbCoUMZDsaQ3VhD_O0uUvm_tKNU1AQCmmVd-RPuaXfLL1LwicQDELLl86-kCJzjl8YqRJNjd24/s1600/montreal-01.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="213" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgD3G2rBh5NKU_vMoPXOaDxyUvjRmf6jVSGIVw4a41EO0qD3Otx1VN7-2ioM_ul_75KtKbCoUMZDsaQ3VhD_O0uUvm_tKNU1AQCmmVd-RPuaXfLL1LwicQDELLl86-kCJzjl8YqRJNjd24/s320/montreal-01.jpg" width="320" /></a></div>
<br />
<h1 class="txt01" id="titre01">
Québec</h1>
<div id="chapo">
<div id="illChapoDest" style="float: right; padding-left: 8px; padding-top: 5px; text-align: center;">
<a href="http://www.routard.com/photos/quebec/47153-400_ans.htm"><img alt="Québec par Nicolas Gazin" src="http://www.leroutard.com/image/13/8/pt47152.1257138.33.jpg" style="border: solid 1px #cccccc;" title="Québec par Nicolas Gazin" width="250" /></a> <br /> <span class="txtNote">Québec © <a class="txtNote" href="http://www.routard.com/membre/3423" title="Québec par Nicolas Gazin">Nicolas Gazin</a></span> </div>
<div style="text-align: justify;">
<b>Il
n’y a pas que paysages et animaux au Québec : il y a les hommes et les
femmes qui y vivent en préservant l’environnement, construisent des
maisons aux couleurs pimpantes, et développent des villes où la culture
domine.<br /> Des habitants, la plupart du temps d’une extrême
gentillesse. Mais aussi une société particulièrement tolérante envers
les minorités, ouverte sur le monde, les technologies modernes et
l'innovation.<br /> Si nous, Français, Belges et Suisses, débarquons en
masse chez nos cousins québécois, les raisons sont à la fois évidentes
et multiples. D’abord, avec les Acadiens de Louisiane, le Québec forme
la seule société en dehors de l’Hexagone composée de descendants directs
de Français. Ce cousinage nord-américain intrigue ou fascine.<br /> Au
Québec, il y a bien sûr le bonheur de partager une langue à l’origine
commune. Vous serez sans doute impressionné de voir à quel point les
Québécois défendent la langue française (qué)bec et ongles, cernés
qu’ils sont au milieu d'un monde anglophone.<br /> Ouverture, simplicité, humour et hospitalité chaleureuse, voilà sans doute, en résumé, le meilleur de la mentalité au Québec.</b><br />
</div>
</div>
Anonymoushttp://www.blogger.com/profile/14724381208833766050noreply@blogger.com0